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02/01/2013

Bonne année 2013, Marianne...

voeux 2013

14/12/2012

La « Femen », gueuse du 21ème siècle

La rue appartient (toujours) à ceux qui y descendent

Alors que les mauvaises nouvelles pleuvent sur nos portefeuilles comme les sauterelles sur l’Egypte antique, on pourra tout de même se réjouir de la mobilisation du pays légal contre le projet de déstructuration de la société, perfidement appelé « mariage pour tous ».

Deux manifestations récentes destinées à protester contre la dénaturation d’un des fondements de notre civilisation, nous donnent quelque raison d’espérer. Tout n’est peut-être pas tout à fait fichu en notre « doulce France » et le pays réel sait encore, parfois, penser droit. Nous verrons bientôt si ce gouvernement d’invertis et de prévaricateurs continuera à promouvoir les idées malsaines qu’une minorité agissante tente d’imposer.

Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort…

Le culbuto louvoyant qui fait office de président, a « normalement » cédé au diktat d’associations militantes gays, celles-ci n’ayant pas supporté l’option « clause de conscience » accordée aux maires de France (pauv’ ‘tites choupettes, elles en étaient toutes retournées…). Nous voilà obligé de battre le pavé parisien en janvier prochain (à défaut de battre autre chose…). Cela confirme que nous avons bien un président normal, tout ce qu’il y a de plus normal dans la normalitude la plus aboutie en social-démocratie : normalement couard.

De bon matin, écoutant la revue de presse d’une radio périphérique, je retenais cette remarque liée à la forte mobilisation des familles les 17 & 18 novembre derniers : le journaliste pressentait à demi-mot, des lendemains compliqués pour le pouvoir en place. Il mettait en parallèle les manifestations de novembre et celles qui eurent lieu lors du projet de Pacs en 1999. Il relativisait ainsi certains commentaires sur la prétendue faible mobilisation contre ce projet de mariage pour tous. Certains comparaient en effet les 100 000 manifestants de samedi aux 100 000 manifestants de la grande manif de 1999. Sauf que, les 100 000 courageux de 1999 arpentaient en fait pour la seconde fois le pavé parisien ! Nuance. Le premier défilé du 07 novembre 1998 n’avait rassemblé lui, que 10 000 courageux piétons. Il faut donc comparer ce qui est comparable…

Politique fiction : si nous appliquons le même coefficient multiplicateur à la prochaine manifestation, nous serons près d’un million dans la rue le 13 janvier prochain ! Chiche ? Cela pourrait raviver les souvenirs d’un certain 24 juin 1984, quand le pays réel a mis en échec le projet Savary et fait tomber le gouvernement du gros rougeaud de Lille (Note pour mon biographe attitré : la manifestation de Versailles fut mon premier acte de militantisme à l’AF !). Vivement le 13 janvier !

Comment dit-on « gueuse » en ukrainien ?

femen, gueuseQuant aux « incidents » et autres « incivilités » dont auraient été victime les pseudos femelles, mais vraies activistes ukrainiennes stipendiées de Femen, les images diffusées par les médias parlent d’elles-mêmes : un groupuscule de harpies provocatrices suintant la haine, la haine du mâle, la haine de la famille, la haine des chrétiens, le tout avec la triste exhibition de ces corps de pauvres goules frustrées.

Ces « choses » suaient la haine. La haine des autres certes, mais aussi dans un certain sens, la haine d’elles-mêmes, hystériquement jalouses des visages radieux de ces familles portant leurs enfants sur les épaules ou poussant leurs bébés dans les landaus. Soyons charitables et plaignons ces pauvres hères qui ne seront jamais tout à fait heureuses de leur condition. Donnez-leur tout ce qu’elles réclament : Pacs, mariage, enfants adoptés ou PMA, que sais-je encore, elles trouveront toujours de quoi revendiquer pour compenser leur état de larve hédoniste et égoïste.

Peut-on raisonnablement considérer ces harpies comme des symboles de la féminité et de la défense du sexe faible ? Cela serait faire offense à nos chères jouvencelles et petits trottins. N’avions-nous pas là plutôt, la représentation en chair et en os de notre bonne vieille gueuse, celle qu’à l’AF nous souhaitons pendre au premier lampadaire venu ? D’ailleurs, au lieu de s’affubler d’un voile de religieuse, elles auraient pu porter le bonnet phrygien pour être plus conforme à leur genre. Le portrait eut alors été complet : la république enfin matérialisée ! La gueuse en chair et en os, personnalisée par des grognasses ivres de fureur et de fanatisme.

Les tricoteuses jacobines de 1793 qui accompagnaient vers l’échafaud, insultaient et crachaient sur les innocentes victimes de la Terreur, devaient bien ressembler à ces gorgones frustrées.

Leur courage n’étant pas celui des Amazones de la mythologie grecque, les vipères de la bande à Fourest ne sont que des minables rebelles en peau de gougnotte.

Leurs seins à l’air ? Whaou, quelle audace !

Franchement, des poitrines nues, même les enfants de chœur de Saint Nicolas du Chardonnet et l’ensemble de nos chers bambins en reluquent à foison : que ce soit près du club Mickey sur les plages de la Baule, dans les publicités pour des bains douches, les parfums ou les gels intimes ! Pourquoi ne pas plutôt sortir dans le plus simple appareil, hein, histoire de faire dans la vraie provoc’ bien graveleuse ? En s’affichant nues comme l’Eve du premier jour, elles auraient offert à nos chérubins un cours de SVT plus instructif que la dissection d’une innocente grenouille par un prof acariâtre (SVT, pour Science et Vie de la Terre ; le cours de science nat’ pour les anciens ! Mais ne nous méprenons pas quand même, je n’ai pas dit qu’il fallait disséquer les « Femen », non plus. Pas d’amalgame, ni de raccourcis trop rapides). Raté donc pour cette fois, elles ont de ces pudeurs les cocottes, finalement…

Allez les moukères, on s’revoit le 13 janvier ?

Mobilisez-vous !

Cet épiphénomène poitrinaire étant évacué, il reste que la rue ne s’est visiblement pas assez mobilisée, car le pouvoir semble rester sourd face à la montée de la protestation. Protestation qui s’étend bien au-delà de la sphère catho-loden-mantille en dentelle, soit dit en passant : outre les représentants de l’Eglise de France, des Rabbins, des recteurs musulmans, des pédiatres, une bonne partie du milieu associatif de l’enfance et de l’adoption, des psychologues et même des intellos de gôche comme Sylviane Agacinski, évoquent de très probables perturbations pour des enfants privés de parents de sexe différent. Ça commence à chiffrer.

Alors devant les menées de ces organophosphorés* qui attaquent notre civilisation, une seule option : tous à la manif le 13 janvier prochain !

Addendum : Le « tous » en question dans « mariage pour tous » n’ayant pas été vraiment explicité, cela laisse de la marge dans l’interprétation : mariage à 3 (le Brésil et les Pays-Bas ont déjà légalisé une union de ce type) ? À 4 ? Plus si entente ? Avec ses propres enfants, son frère et/ou sa sœur, son père, sa mère (« …ho ho, ce serait le bonheur… ») ? Avec une personne déjà mariée ? Entre votre voisine Alyson et son bichon maltais, Karim et son Pit Bull ? Entre humains et vénusiens (Raël, si tu me lis…)?

Tout cela donne le tournis et laisse augurer de croustillantes épousailles dans les années à venir. On ne remerciera jamais assez les socialistes, écolos et autres progressistes de tout poil, pour promouvoir de telles avancées sociologiques.

Le seul truc qui me chiffonne un tantinet, c’est que je ne vois pas bien quelles nouvelles bonnes idées nos esprits éclairés vont pouvoir sortir de leur chapeau recyclé et écolo-responsable. Le cannibalisme pour tous (ben quoi, c’est bio, non ?) ? La coprophilie expliquée aux enfants ? Les sacrifices humains pour calmer les esprits de la Terre ?

(*) Organophosphorés : substances hautement toxiques qui attaquent le système neurologique

09/11/2012

Le fantasme normal d’un président normal

Histoire de rire un peu sur le sujet pas drôle du moment, « gay, gay, marions-les ! », je publie ci-dessous, le dernier article de l‘excellentissime blog « Newsfiction.fr ».

Après le mariage homo, le mariage hollo !

 

http://www.newsfiction.fr/FANTASME-2-1_2_829.html

Se débarrasser de deux chieuses grâce au mariage homo : le rêve secret de François Hollande

 

homo, mariage, hollande

Un temps réservé sur la question du mariage homo, François Hollande semble désormais carrément enthousiaste à l’idée que ce projet voit le jour. D’après ses proches collaborateurs, le changement de position du chef d l’Etat serait du à sa manière d’envisager une des applications possibles de cette union entre individus du même sexe.

Accoudé à son bureau, François Hollande se plaît rêver que Valérie Trierweiler et Ségolène Royal convolent en justes noces et filent le parfait amour loin, très loin du palais de l’Elysée. Lune de miel en Australie, vie commune dans un village de la forêt Amazonienne… Pas jaloux pour un sou, le président a confié qu’il serait même prêt à célébrer la cérémonie.

Hélas, le chemin paraît long pour parvenir à concrétiser ce doux rêve.

 

 

Après ce moment de détente, le combat continue! N’oubliez pas de rejoindre l’Action Française pour la grande manifestation nationale le 18 novembre 2012 à 14h30, devant le ministère de la famille (avenue Duquesne à Paris).

Oui à la famille

Non au mariage homosexuel

Et à l’adoption d’enfants par des homosexuels

01/10/2012

Collage à Nantes : les muscadins du muscadet sont de retour !

DSC06994c.jpgA l’heure où de courageux vendangeurs sillonnaient dans l’aurore naissante, ciseau à la main, les vignes des coteaux de Sèvre et Maine, une escouade d’héroïques et zélés royalistes finissait de parcourir le pays du Muscadet, en long, en large et en travers (le «travers» en question n’ayant rien à voir avec un abus de «Côtes-de-Grand-Lieu sur lie» ou de «Château de la Mercredière», je m’empresse de préciser…).

Nuitamment donc, Soudarded et Amaury de Perros (l’escouade d’héroïques et zélés royalistes, c’est eux !), armés de sceaux, de colle, de brosses et d’une foi inébranlable dans la Cause, égayèrent Clisson et ses environs d’affriolantes mais néanmoins insurrectionnelles affiches de votre mouvement favori.

Ce dimanche, le pays nantais s’est réveillé aux couleurs de la jeunesse royaliste !

Qu’on se le dise, les muscadins du muscadet sont là !

Le Hellfest, c’est ringard. Vive le Royalfest !

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27/09/2012

Colloque: Maurras, 60 après (1952-2012)

maurras

Le Cercle de Flore organise le 27 octobre à Paris un colloque intitulé "MAURRAS, 60 APRÈS (1952-2012)" avec des personnalités du monde universitaire, des écrivains et des journalistes.
 

Le prix d'entrée est fixé à 7 euros, 2 euros pour les étudiants, chômeurs et ecclésiastiques.


Adresse: Maison des Mines, 270 rue Saint Jacques, Paris 5ème

Plan d'accès:

Plan d'acc+¿s Maison des Mines.jpg


03/09/2012

Championnat du monde de canne de combat à Saint Herblain

Dans la légendaire histoire des camelots du roi, la canne est indissociable des bagarres de rues et des combats que les royalistes de l’Action française durent mener pour la défense de leurs idées et préparer le retour du Roi.

« Une canne dans la main et dans la poche un bon livre », écrivait Henri Lagrange, histoire de mettre en pratique « la violence au service de la raison ».

La canne idéale sera donc plombée, histoire de faire pénétrer l’empirisme organisateur dans les têtes molles et les cerveaux embrumés des démocrates et des antinationaux de tout poil.

Argument frappant au service du « penser clair » et du « marcher droit », la canne permettait également de différencier l’élégant royaliste (forcément élégant !), du démocrate déguenillé, le muscadin moderne du sans-culotte ou le chouan urbain et distingué du bolchévique vulgaire (vulgaire, forcément…). L’élégance au service de la raison, en somme.

Détenteur d’un exemplaire acheté chez un artisan parisien du passage Jouffroy, ma première badine n’aura pas survécu à une échauffourée oubliée parmi les nombreuses péripéties qui agrémentaient nos mercredis estudiantins. La seconde aura également vécu différents raout participatifs (manifs, contre-manifs, Jeanne d’Arc, moult braderies de Lille,…) et égaye maintenant les murs de ma gentilhommière plus sûrement que de fausses épées médiévales estampillées « made in Yunnan ». Elle a une histoire à raconter, histoire que je narre à mes enfants un verre de chouchen millésimé à la main, lors des longues soirées de nos hivers bretons. Autour de l’âtre familial où brûle un feu chatoyant, je conte la geste héroïque et légendaire…suite du texte supprimé (NDR : j’avais dit court l’article, saperlipopette ! Peut pas s’en empêcher, çuilà…).

Etrangement, le retour au pouvoir de la gôche honnie semble lui rendre sa vigueur passée et pour un peu, elle se décrocherait toute seule de son socle, tel un balai volant dans un tournoi de Quidditch à Poudlard. Une envie soudaine de botter de nouveau le fondement des progressistes actuellement au pouvoir ? Ce ne sera hélas pas aussi simple qu’au temps béni des Lacour et autres Real Del Sarte.

Malgré les efforts notables de la « Génération Maurras » pour remettre à l’honneur le bâton des camelots, il y a trente ans de cela, le port de la canne n’est toujours pas un accessoire courant dans nos rues. Déambuler de nos jours avec ce noble appendice vaudrait, à tout le moins, un coup d’œil suspicieux de la part « d’adjoints de sécurité-cadets de la république » issus du bled de la diversité visible (ou de la minorité citoyenne, je ne sais plus…). Plus sûrement, cela vaudrait une mise aux fers dans les geôles de la république pour port d’arme et incitation à l’insurrection armée, pour peu que vous ayez envisagé de charger le premier peloton de CRS venu au cri de « Rembarre ! Rembarre ! ». Il faudrait également compter sur les regards médusés des masses laborieuses qui ne comprendraient pas ce qui peut pousser un fringuant jeune homme à la mâchoire volontaire et au regard azuréen fixé vers un avenir royal, de se doter d’un accessoire manifestement destiné à sécuriser la marche de barbons poly-arthritiques.

De quoi hésiter donc avant de flâner fièrement sur les grands boulevards, la noble cravache à la main. Cela serait pourtant bien plus audacieux et seyant que le port d’une crête multicolore dans le l'East End londonien ou s’accoutrer d’un ensemble « casquette-short moulant en cuir et moustaches Freddie Mercurienne » dans le Marais. « O tempora, O mores ».

L’objet fait heureusement toujours recette sportivement parlant et comme arme de combat (tiens, tiens…on y revient). D’où cette publicité pour ce prochain championnat du monde de canne de combat se déroulant à Saint-Herblain (44), les 22 & 23 septembre prochain (complexe sportif du Vigneau). Vous rencontrerez très certainement votre serviteur venu faire un petit rappel de technique d’assaut (brisé, latéral extérieur, croisé tête, croisés bas, coups de bout et autres coups de talon). Histoire d’affuter sa rentrée militante...

canne

Extrait de l’historique de la canne de combat écrit par l'association "La savate Herblinoise" :

L’historique de la canne de combat

DES ORIGINES....

La canne, dont l’histoire se confond avec celle du bâton, reste une des armes les plus anciennes de l’humanité. La plupart des civilisations de l’antiquité l’enseignaient. On trouve d’ailleurs des traces de combats de canne dans les bas-reliefs égyptiens.

La Canne de Combat puise ses origines dans la tradition populaire. Charlemagne l’officialisera afin de remplacer l’épée dans les duels. On retrouve encore la Canne et le Bâton dans les jacqueries du Moyen-âge et plus tard chez les chouans.

Citer les Compagnons du Tour de France paraît incontournable car ils furent probablement les meilleurs promoteurs de ce noble sport, la canne restant leur arme traditionnelle dès le XVème siècle.

…À SA CODIFICATION…

Le XIXème siècle voit donc apparaître les précurseurs qui ont posé les principes de l’enseignement de la canne et du bâton. Les bases de ces pratiques sont en partie liées à celles de la savate et de l’escrime car les maîtres enseignaient aussi ces disciplines dans les mêmes salles. L’histoire retient les noms de Larribeau, Leboucher, Lecour, Trencart, Jacou, Loze, Foucart, Vigneron et Charlemont. Peu d’entre eux ont formalisé leur enseignement. Toutefois deux auteurs peuvent être considérés comme les fondateurs des pratiques actuelles : Leboucher et Charlemont.

De 1830 à 1920, c’est « l'âge d’or de la canne ». Celle-ci demeure un accessoire vestimentaire, inséparable de la tenue du bourgeois et de l’aristocrate, mais elle devient aussi une arme de défense personnelle. C’est à cette époque qu’apparaissent les premières formalisations des techniques de combat de canne et de bâton. La pratique de la canne se développe dans les « salles d’armes », parallèlement à l’escrime et à la savate, tandis que le bâton demeure une pratique militaire dont l’enseignement comme gymnastique est formalisé à l’École de Joinville. (1852-1939). L’armée délivre les premiers brevets d’enseignement qui autorisent leurs possesseurs à être instructeurs, prévôts ou maîtres dans les unités militaires puis, ultérieurement, dans les écoles publiques et les lycées.

La Deuxième Guerre Mondiale fait passer ce noble art dans l’oubli pendant près de 40 ans, si ce n’est quelques passionnés qui permirent à la Canne et au Bâton de retrouver sa place, telles la lutte parisienne et la Boxe Française dans le patrimoine culturel.

LA RENAISSANCE DE LA CANNE DE COMBAT....

Il faut attendre les années 1970-1980 pour voir apparaître le renouveau de la canne, oeuvre de Maurice SARRY mais aussi de Bernard PLASAIT. La pratique de la canne prend à cette époque une orientation sportive. Son développement est lié à celui de la Boxe Française-Savate à partir de 1965. Cette année-là se constitue le CNBF, réunissant les membres des commissions de boxe française et de canne de la FFB. L’orientation sportive trouve sa consécration lors des premiers Championnats de France en 1980.

A partir de 1977 sont apparues les prémices du CNCCB (comité national de canne de combat et bâton) qui sera officiellement reconnu en 1983. La création du Comité National a permis une accélération du développement de la canne et du bâton, il demeure l’élément moteur du développement autour duquel se sont greffées toutes les actions, fédérales ou non, ces dernières ayant toujours respecté la ligne de conduite définie au niveau national.