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03/11/2011

Campagne de Libye : victoire à la Pyrrhus de la république

La fin de la « campagne de Libye » sarkozyste, permet de tirer quelques enseignements sur l’état de notre armée et met en lumière certains points noirs de notre système politico-économique.

Les faiblesses matérielles de notre armée, révélées par l’opération « Harmattan », mettent également en exergue la déliquescence des structures de l’Etat français. De quoi frémir à l’heure où de sombres nuages s’amoncellent sur l’Europe de Bruxelles, Moloch qui n’en finit plus de trembler sur ses bases depuis la faillite grecque et celles annoncées du Portugal ou de l’Italie.

Sans faire de catastrophisme, il semblerait que nous n’ayons jamais été aussi près d’un effondrement majeur depuis 1929. Quand on sait ce qui est sorti de cette crise, en Allemagne notamment, on peut avoir de légitimes inquiétudes quand à l’organisation politique future de l’Europe et de la France.

Pourtant la France républicaine reste fidèle à un principe : vive la démocratie universelle !

On sera donc prié de ne pas chinoiser sur le coût de nos diverses interventions et quand aux résultats un tantinet en deçà de nos espérances.

… (suite de l’article dans « Lire la suite » ci-dessous)

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28/10/2011

Marche pacifique de protestation contre la christianophobie à Rennes

Tract-du-10-novembre-2011.JPGUne marche pacifique de protestation organisée par l’Institut Civitas de l’Ouest, est prévue à Rennes le 10 Novembre 2011 à 18 h 30 (http://civitasouest.over-blog.com/article-tract-du-10-novembre-2011-rennes-87252282.html).

A l’heure ou de nombreux catholiques et membres de l’Action française sont de nouveau placés dans les geôles de l’Etat (150 manifestants arrêtés à Paris, 3 comparutions immédiates), alors qu’un de nos militant se remet difficilement de sa jambe écrasée par un car de police, il convient de ne pas relâcher l’effort pour faire cesser ce délire scatologique, cette agression sur la personne même du Christ et dénoncer la complicité active de la mairie de Paris.

A lire également sur le blog de l’URBVM, la justification, s’il y avait besoin de justification, quand à la nécessaire mobilisation des bretons contre cette ignominie.

Plus que jamais, la république est le bras armé de l’anticatholicisme.

A bas la république !

     Doue ha mem Bro !

          Vive le roi !

23/10/2011

Requiescat in pace: Marco Simoncelli

simoncelli

Il y a des jours funestes, tellement sombres que même un soleil d’octobre ne suffit plus pour consoler l’âme et réchauffer le coeur. Et les dimanches ne font pas exception.

J’avais prévu aujourd’hui de m’octroyer un petit déjeuner de fête, la tête tournée vers mon écran de télé dès sept heures du matin afin d’assouvir ma passion pour la course moto, oublier pour un temps la clique politicienne française qui nous sert de syndic de faillite et qui se sert d’une une milice armée pour martyriser nos camarades (voir : « les brutalités policières contre l’AF »).

Avant une finale France-All Blacks de rugby pleine de promesses, la fête sur deux roues pouvait commencer : un français, Johann Zarco, mettant le feu sur la piste de Sepang en 125cc, afin de mettre la pression sur son adversaire Nico Terol et retarder un sacre mondial promis à l’espagnol. La catégorie moto2 suivait, avec son festival de glisses des deux roues en entrée de virage et des pilotes allant au bout de leurs forces sous les 50° de la piste malaise. Les seigneurs de la catégorie motoGP pouvaient alors entrer en piste, avec le double champion du monde Casey Stoner, Valentino Rossi et ses neuf titres mondiaux ou notre Randy de Puniet national, dernier rejeton d’une vieille famille de petite noblesse et playboy du paddock.

La fête n’aura hélas pas duré longtemps.

La Grande Faucheuse avait décidé de prélever sa sinistre et sanglante dîme, en désignant le prometteur Marco Simoncelli, espoir de la vitesse italienne et probable prétendant au titre mondial en 2012. Chutant en sortie de virage dès le deuxième tour, il est alors percuté par l’américain Nicky Hayden et par son ami, son idole, Valentino Rossi. Ces derniers ne purent absolument rien pour éviter le pilote Honda. Des motos pulvérisées, un casque arraché sous la violence du choc, un corps qui glisse et roule sur le bitume tel un pantin désarticulé, nous savons déjà que le pire est arrivé et que si le pilote survit à ce choc, ce sera au prix de lésions irréparables à la tête et aux vertèbres.

Drapeau rouge, arrêt de la course, visages défaits et blêmes des acteurs du Continental Circus, voix étranglée et bientôt les larmes en direct du pilote régis Laconi, commentateur pour Eurosport, lui qui en 2009, échappa de peu en course à la paralysie totale et qui sait que le pire est arrivé. Nous qui sommes passionnés de la course moto, nous pensons à ce moment à Jarno Saarinen et Renzo Pasolini, tués ensemble à Monza en 1973, à Patrick Pons fauché à Silverstone en 1980, à Michel Rougerie foudroyé à Rijeka en 1981, tous morts dans des circonstances analogues, percutés par des adversaires qui ne purent les éviter. Telle est la loi, la dure loi de ce sport de Seigneurs.

Aujourd’hui, la belle défaite des rugbymen français en Nouvelle-Zélande m’indiffère. Un artiste, un funambule, un guerrier s’en est allé au Paradis des motards rejoindre les Shoya Tomizawa, Christian Léon, Graig Jones, Michel Frutschi, Mike Hailwood, Olivier Chevallier, Bill Ivy, Daijiro Katoh, Santiago Herrero, Ivan Palazzese et autres Christian Ravel. Nous ne verrons plus sa grande carcasse arpenter les paddocks, ni son imposante tignasse qu’il arrivait néanmoins à caser dans son casque. Il était redouté par ses concurrents, car c’était un batailleur qui n’aimait rien d’autre que l’arsouille à 250 km/h, carénage contre carénage, freiner au-delà de la limite et martyriser ses pneus par de grandes glissades à l’accélération. Ceux qui sur la piste le craignaient, le critiquaient parfois aussi pour son audace et sa folle témérité, déjà le regrettent. Son comportement, son panache, son franc-parler, donnaient à notre sport sa flamboyance et l’empêchaient de devenir aseptisé comme la Formule 1 peut l’être. C’était une vivante incarnation du Joe Bar Team1 à lui seul.

Le sport moto, motoGP, Superbike, motocross confondus, est une discipline où le risque sera toujours présent et la Mort en embuscade. Les Princes de la moto, à force de la tutoyer sur les circuits, parfois l’étreignent et l’embrassent. A se demander comment certains, comme Giacomo Agostini, Phil Read ou John Surtees, ont pu échapper à la sinistre Dame à la faux. Ils coulent aujourd’hui des jours heureux, se demandant peut-être pourquoi la camarde les aura épargné dans cette grande loterie.

Quand à l’ami de Marco Simoncelli, le modèle, l’idole Valentino Rossi, l’homme aux neuf titres mondiaux, l’homme de tous les records, lui qui fut impliqué dans cette atroce tragédie aujourd’hui, pourra t’il seulement se relever de cette disparition ? Au crépuscule d’une saison noire pour un champion de sa trempe, victime d’une moto peu compétitive cette année, le champion aura-t-il les ressources mentales pour se battre à nouveau pour une couronne ? L’accident de Sepang ce 23 octobre aura peut-être fait une autre victime.

 

(1) Joe Bar Team : bande dessinée motarde mythique

21/10/2011

SPECTACLE BLASPHÉMATOIRE : UN JEUNE MILITANT D’ACTION FRANÇAISE ÉCRASÉ PAR UN CAR DE POLICE

COMMUNIQUÉ DU CRAF

(Lien sur le site de l'AF)

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Spectacle blasphématoire : l’AF était au rendez-vous

Le jeudi 20 octobre la pièce de théâtre de Roméo Castelluci : "Le concept du visage du fils de Dieu" était programmée au Théâtre de la ville à Paris.

Les jeunes militants de l’Action Française étaient là pour manifester l’indignation des Français devant cette pantalonnade scatologique organisée dans un théâtre bourgeois qui vise à insulter l’image de notre patrimoine sacré et culturel à l’heure où les églises brûlent en Egype et ou la chrétienté est persécutée dans de nombreux pays au monde.

Violences policières d’une rare violence

La police républicaine particulièrement zélée exerça une répression extrêmement brutale.

Après un tabassage en règle les manifestants furent mis à terre et menottés sans ménagement.

Scène particulièrement choquante : alors qu’il était maintenu au sol un militant a eu la jambe écrasée par un car de police. Il a été conduit par les pompiers écœurés, en urgence à l’hôtel Dieu.

Au cris de : "Action Française", et : "La culture c’est sacré on ne laissera rien passer", les manifestants furent conduit en car au commissariat du forum des halles.

A l’heure où nous publions ce communiqué, les militants sont toujours aux mains de la police et nous n’avons aucune nouvelle de notre camarade écrasé par le car de police.

Le CRAF 

Deux vidéos à voir :

http://www.actionfrancaise.net/craf/?Violences-policieres

http://www.actionfrancaise.net/craf/?VIOLENCES-POLICIERES...

17/10/2011

Hollande : le candidat de la France d’ailleurs

hollande

Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que le masque tombe. Et convaincre enfin, ceux qui se faisaient des illusions et qui pensaient le niais de service moins extrémiste que sa concurrente lilloise.

Dès le lendemain de sa nomination comme candidat officiel du PS à l’élection présidentielle de 2012, François Hollande est en effet venu faire allégeance à ceux qui travaillent à la soumission de notre pays au lobby tiers mondialiste et à l’ensemble de la vermine cosmopolite qui crache habituellement sur notre pays (François Hollande, le désormais candidat du PS à la présidentielle 2012 était ce lundi matin sur le pont de Clichy à Asnières pour  rendre hommage aux manifestants algériens tués lors de la manifestation du 17 octobre 1961).

Le message est clair. Tout ce qui n’est pas français aura donc les faveurs du « Mitterrand » de pacotille, cela en accord avec les recommandations du « think tank » Terra Nova, pour qui l’ouvrier français doit être délaissé au profit de l’émigré dans les stratégies électoralistes1.

Tu as choisi ton camp, camarade ! Celui d’être l’ennemi de ton propre pays.

Les salariés, le jour du vote, sauront peut-être se souvenir de ce geste méprisable pour l’ensemble des travailleurs français. Au PS, ils ne sont plus à quelque centaine de milliers de voix en plus pour le FN, après tout.

Et vous voudriez que je crie « vive la démocratie » ?

Un seul mot d’ordre pour 2012 : le ROI !

 

(1) on pourrait aussi penser que ce geste fait partie d’un plan visant à se saborder électoralement, histoire de ne pas être élu en 2012 et d’avoir à gérer la monstrueuse crise à venir. Pourquoi pas. Après tout, on a bien écrit et dit que l’infâme DSK avait agi de la sorte pour se faire écarter de l’investiture du PS et d’une victoire toute acquise en 2012.

14/10/2011

France : Qui gouverne ?

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Un article de Jean-Dominique Merchet (Afghanistan : on lève le pied avant de lever le camp :http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Afghanistan-on-leve-le-pied-avant-de-lever-le-camp_a381.html), révèle l’évolution majeure du calendrier de retrait de nos forces armées d’Afghanistan, calendrier semblant étroitement lié à l’échéance électorale de 2012.

Au delà du contexte local (et de la réussite de l’intégration des rebelles talibans dans une société enfin McDonalisée…), ce qu’il faut bien appeler revirement met surtout en lumière le manque de constance de l’action gouvernementale française.

Le traumatisme consécutif à de nouvelles pertes de soldats français (ou de journalistes – perte irremplaçable, s’il en est…), aurait le plus mauvais effet pour l’équipe provisoirement au pouvoir. Des voix, peut-être même celles du commandement français, pourraient alors s’élever contre le mode opératoire actuel de cette intervention, voire mettre en doute sa raison d’être tout court (là on touche au crime de lèse-majesté).

Ce qui ressemble de plus en plus à un départ en catimini, fusil sur l’épaule et queue basse, serait quand même assez peu glorieux, pour un pays qui offre généreusement sa puissance militaire afin édifier la Démocratie chez ces arriérés qui n’en ont pas encore la jouissance. Ce qu’on peut d’ores et déjà appeler échec, échec largement prévisible d’ailleurs, ne doit pas imputé à nos pioupious qui font admirablement bien leur mission, mais à Sarkozy et à une clique dirigeante à la remorque des Etats-Unis, Otan oblige.

Pestilentielle Présidentielle oblige donc, les hommes au pouvoir semblent réduits à gérer les affaires courantes, en se préservant de tout ce qui pourrait traumatiser l’opinion. Et donner ainsi du grain à moudre à une gauche qui n’attend qu’un tel « faux pas », pour s’imaginer déjà vautrés dans les lambris et les ors de l’Elysée. Le bourbier afghan pourrait alors devenir le tombeau de l’UMP. Déjà que l’affaire Karachi

Une fois de plus, le système démocratique français et son enfant, l’électoralisme permanent, interviennent dans la conduite des affaires de l’état. Au-delà de l’aspect légitime ou non de l’intervention militaire en Afghanistan, le navire « état » navigue comme un voilier sans amarres, chahuté par les revirements de ministres et les renversements d’opinions. On mouille son froc, on pâlit devant les conséquences d’un éventuel couac sanglant sur le terrain à la veille du scrutin et on défaille d’avance d’avoir à rendre des comptes à des familles éplorées par la perte d’un fils ou d’un époux. Pire encore : avoir à déplorer la disparition d’un journaliste, caste sacrée de la ripoublique médiatique. De quoi se mettre définitivement à dos une coterie déjà peu disposée envers la caste sarkozyste.

On se cloître donc comme les américains le font si bien et on prépare un savant repli stratégique au prétexte que les afghans sauront bien mieux négocier avec combattre les rebelles talibans (voir également : http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Afghanistan-Nous-n-irons-plus-dans-les-fonds-de-vallee_a403.htm). Un gouvernement digne de ce nom aurait pourtant maintenu le cap et aurait donné les moyens aux forces armées d’effectuer leur mission.

La guerre n’est plus un jeu quand on envoie des hommes se faire trouer la peau. On ne « joue » pas à la guerre. On la fait. On la gagne ou on la perd, mais on la fait, totalement, absolument, violement. Nos soldats ne sont-ils que des pions que l’on peut déplacer sur un échiquier au gré des changements de stratégies, stratégies elles-mêmes conditionnées par les tendances fluctuantes d’instituts de sondage ? En principe non, mais…

Mais la République a pourtant l’habitude de verser le sang de ses enfants au nom de ses merveilleux idéaux, que ce ne sont pas quelques sonneries aux morts de plus dans la cour des Invalides qui devraient faire reculer les Bienfaiteurs de l’Humanité, n’est-ce pas ? Quel plus beau sacrifice en effet, que se faire tuer pour la démocratie, la liberté, l’égalité et la surtout fraternité entre Tadjiks, Hazaras et autres Baloutches ? Que des tribus rétrogrades n’adhèrent pas complètement à notre façon de concevoir le mode de gouvernement d’un peuple, n’est pas un obstacle en soi. La Démocratie Universelle DOIT être mise en place de gré ou de force chez ces peuples inférieurs qu’il faut éduquer d’urgence. Le grand ancêtre Jules Ferry l’avait déjà proclamé en 1887 : « II faut le dire nettement : oui, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. Comment justifier, sinon, notre présence aux colonies... ».

Prétendre que le retrait des troupes onusiennes d’Afghanistan permettra l’instauration d’un système démocratique universellement envié, est une vaste blague alors que ce pays est miné par la corruption au plus haut niveau de l’état. Le désarmement des bandes armées s’annonce également compliqué dans un pays où le premier hochet d’un minot pachtoun est une Kalachnikov ! Pour autant, la présence des forces armées occidentales aura permis le retour à des traditions ancestrales : port du hidjab, lapidations festives, boum de la production d’opium (+61% entre 2010 et 2011 ; production sur 131 000 ha ; leadership commercial avec 90% de la production mondiale, soit 700 M$). En somme c’est plié.

Pour la première fois, nos Lumières n’éclaireront pas un peuple pourtant si méritant. « Demerden sie sich ! », en somme.

Au-delà de la problématique afghane, la sanction des urnes se rapprochant, ne doit-on pas se demander si les atermoiements de la caste au pouvoir en France ne sont tout simplement pas révélateurs d’une absence de chef à la tête de l’état. La conduite des opérations en Afghanistan semble en être le révélateur. Les gesticulations de l’agité de la rue Saint-Honoré n’y changeront rien. Ici, on brasse du vent.

 

Tels sont les effets de la démocratie, de la soumission servile à l’Opinion et d’une campagne électorale permanente.

Un seul mot d’ordre pour la France pour conjurer l’anarchie actuelle : un chef, un ROI !