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08/05/2017

De qui Macron est-président ?

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14/04/2015

Jean Raspail, ce gardien de ruines veillant sur leur agonie

Pour ceux qui n’auraient point jeté un œil avisé sur le dernier Valeurs Actuelles, ne faites donc pas l’économie de son acquisition, ne serait-ce pour cet entretien avec Jean Raspail.

Recadrant le thème de son œuvre la plus connue « le camp des saints », il confirme que sa charge ne visait pas tant les immigrés (et évacuant de fait toute idée de racisme), mais « les élites, politiques, religieuses, médiatiques, intellectuelles du pays qui par lâcheté, trahissent leurs racines, leurs traditions et les valeurs de leur civilisation ».

Homme libre, chérissant la mer, membre des Ecrivains de Marine, refusant l’adhésion à un parti (« mon jugement sur la politique, il est simple : elle pourrit les meilleurs »), il est comme ses personnages, cherchant à « échapper à la lourdeur, à la laideur, à la trivialité d’un monde régi par les impératifs de l’utilité et de la rentabilité ».

On notera bien sûr un certain pessimisme quant à l’avenir immédiat de notre pays et de sa civilisation. Il prévoit (et cela est déjà vrai) que « des pans entiers de ce pays seront peuplés de français d’origine extra-européenne qui n’auront pas de liens affectifs avec l’histoire et l’identité de la France ». Tel est le résultat du modèle d’intégration républicain, débouchant sur la tribalisation de notre pays. Ce propos est atténué par une espérance dans un sursaut de l’âme française, sursaut venu non pas de la classe politique mais du pays réel. Alors, l’âme de la France pourra sortir de cette « dormition ».

Jean Raspail se défini comme réactionnaire, « à rebours des valeurs dites citoyennes et républicaines » comme ses personnages le sont. Le fait de vouer un culte aux rites, aux liturgies, arborant avec fierté l’uniforme, hissant son drapeau comme un défi au totalitarisme des « petits hommes gris », ne finit pas de nous rendre l’homme des plus sympathiques.

Se définissant comme veilleur ou éveilleur, il est le « gardien de ruines veillant sur leur agonie ».

A l’Action française, nous qui travaillons à lutter contre le régime qui est la cause première de ce que dénonce Raspail, nous espérons par notre combat quotidien, sortir la France de sa « dormition ».

Le Roi est une nécessité, un devoir, une mission.

01/03/2015

Week-end militant à Nantes

Les petits nantais n’auront pas chômé ce week-end.

Samedi, cercle d’étude mené par le responsable jeunes Charles Auguste, sur les différentes restaurations ou tentatives de restaurations qui jalonnèrent le 19ème siècle.

Dimanche matin, vente à la criée du journal à la sortie de messe. Excellent accueil, de la curiosité, de nombreuses questions sur l’AF et des journaux vendus ! Et la promesse de revenir sur ce point de vente à la prochaine parution du journal.

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17/02/2015

49-3...... pffffffff....passons au 5.56...

...voire au 12.7...

49-3

25/01/2015

Hommage des nantais à Louis XVI

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Le 21 janvier dernier, au nom de l’URBVM et du CRAF de Loire-Atlantique, les nantais ont rendu hommage au roi martyr.

A l’issue de la messe à Saint Clément, une procession menée par les jeunes d’AF s’est dirigée vers la colonne Louis XVI place Maréchal Foch, où d’autre nantais attendaient la cérémonie d’hommage.

Au nom de l'URBVM et du CRAF, Amaury de Perros prononça une allocution où il rappela entre autres, que la république était incapable d’assurer la sécurité des français, les dramatiques évènements de janvier le démontrant, hélas. Ce régime se soucie assez peu des français et n’aura jamais hésité à faire verser son sang, par intérêt ou par inconséquence.

Un dépôt de gerbe, suivi d’un vibrant "Henry IV" et bien sûr de "la Royale" achevèrent cet hommage nantais au roi martyr. La presse locale était aussi au rendez-vous (Ouest-France), interrogeant notamment votre serviteur sur les motivations des royalistes en 2015.

Certains se retrouvèrent ensuite autour d’une bonne table, où notre ami François F. fit une allocution sur "le roi est mort, vive le roi !". La soirée résonna du "vive Henry IV", du "chant des camelots", entre autres !

L’année des royalistes à Nantes ne fait que commencer ! Qu’on se le dise !

Amaury de Perros

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Allocution d'Amaury de Perros

Le 21 janvier 1793, notre roi Louis le seizième mourrait sous la lame de Samson, exécuteur des basses œuvres de la Convention.

Ce ne fut certes pas le premier régicide dans l’histoire, nombreux furent les monarques de France ou d’Europe ayant payé de leur vie la jalousie d’un puissant du sérail, ou ayant péri par la lame d’un déséquilibré. Mais dans l’Histoire du Monde, jamais un tel acte n’eu de conséquences aussi terribles pour la France, mais aussi pour le reste du monde. La Révolution dans sa fuite en avant aura ensanglanté l’Europe, abattant de soi-disant tyrans, au nom de la Liberté et de fumeux principes.

La Convention par cette exécution, entendait détruire définitivement la civilisation ancienne qui avait vu la terre des Capétiens, petit territoire compris entre Paris et Orléans, devenir sur bien des points, la première des Nations. La France était bien la reine des Nations.

Une France disparaissait donc par le crime du 21 janvier 1793. Une civilisation aussi. Quelques esprits clairvoyants à l’époque, furent horrifiés d’imaginer les conséquences de l’instauration d’un régime légitimé par le sang d’un roi, d’une Reine, par la souffrance de Princes, mais aussi légitimé par les monceaux de cadavres de Vendée, de Bretagne ou d’ailleurs, qu’ils soient prêtres réfractaires, petits nobliaux attachés à leurs terre et à la religion, qu’ils soient paysans ou artisans attachés à leurs libertés perdues.

Ce n’est pas un sang impur qui abreuve les sillons de la République, c’est le sang du Peuple, le sang des nobles et des roturiers.

La mort du roi aura scellé dans le sang la Révolution, faisant d’elle un bloc qu’il fallait adorer. Adorer ou périr. L’ordre ancien était mort, la France d’avant était morte, une autre France surgissait, prétendument régénérée, laissant dans les poubelles de l’histoire des siècles de culture et de civilisation. La République n’allait pas tarder à mettre en œuvre une politique de dénigrement de ces mille ans de royauté. Le travail de sape se poursuit encore de nos jours, par le mensonge quant à la réalité de ce qu’était la France royale, mais aussi en escamotant des pans entiers de notre Histoire dans le cadre des programmes scolaires. Pourquoi mentir, au risque d’être contredit par quelques historiens trop scrupuleux, autant faire disparaître les Héros, les Rois, les Batailles qui firent la grandeur de notre pays. Jeanne d’Arc, Louis XIV, Bouvines ne sont que des concepts encombrants pour nos chères têtes, de moins en moins blondes. A quoi bon ces modèles héroïques, quand on a juste besoin de simples consommateurs destinés à vider leur bourses dans les temples de la grande distribution. Le Héros démocratique est un trader, une bimbo écervelée ou un footballeur étalant sa vulgarité et son ignorance crasse.

Mais parfois, des évènements bouleversent le ronron habituel que Marianne croit nous réserver. Nos édiles pensant naïvement que les français étaient anesthésiés par 200 années de nivellement par le bas, ayant provoqué l’oubli des Paladins de jadis, qu’auront-ils vu ces derniers jours ? Dans ces heures sanglantes de janvier 2015, les français ont acclamés et porté en triomphe de nouveaux héros, des hommes qui avaient, au péril de leur vie, cherché à protéger le peuple de barbares mahométans, de créatures sanguinaires venues tuer ceux qui ne se soumettent pas à leur loi. Il y eu je le crois, une grande spontanéité du peuple dans ce triomphe accordé aux gendarmes, policiers et autres militaires. Les français ont eu peur, peur d’être des victimes, assassinées au hasard du périple sanguinaire de ces fous d’Allah.

Nous pourrons bien sûr toujours compter sur le dévouement de nos forces armées, mais alors que les français semblent vouloir tourner la page de cette tragédie, nous savons tous ici, que la bête n’est pas morte et qu’elle peut surgir à tout instant au coin d’une rue, dans un cinéma, un métro. L’ennemi est dans nos quartiers, dans nos caves, dans nos rues, attendant les ordres d’un émir autoproclamé, tapi dans les sables du désert.

Alors, comment dans cette semaine d’horreur, ne pas voir l’échec définitif d’un régime incapable d’assurer la sécurité de son peuple, l’échec d’un régime ayant détruit ses frontières et baissé la garde sur tous les aspects régaliens de l’état. La diplomatie est en déshérence, la Justice en pamoison devant la racaille, les forces de l’ordre ne comprennent plus leur mission, l’éducation nationale est devenue une usine à décérébrés. Les français, en ovationnant ses protecteurs, ne sentent-il pas confusément, qu’ils ne sont plus protégé par l’Etat, qu’ils ne sont que des individus isolés ?

Ici même l’an dernier, je rappelais qu’il nous appartenait de travailler pour que nos enfants se retrouvent à nouveau dans un pays où il fait bon vivre.

Alors, au-delà du souvenir nécessaire du martyre de Louis XVI, il convient à la lumière des évènements récents, de dire aux français que les malheurs qui les frappent, sont la conséquence d’une absence d’Etat, d’une démission de nos édiles et de leur soumission au Moloch de Bruxelles. Le chant « La Royale » ne rappelle t-il pas que « À l'atelier comme à la terre, Le Roi seul fort protégeait les petits ! » ?

C’est pourquoi, en 2015, plus que jamais, pour retrouver un Etat souverain, protecteur et garant de nos libertés, retrouvons le Roi !

22/12/2014

Dimanche chargé pour l’Action française à Nantes !

Tout d’abord un stand CRAF-URBVM monté pour la conférence de Philippe de Villiers, dans le cadre de la fête du livre organisée par la librairie Dobrée au château de la Poterie (La Chapelle sur Erdre).

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La foule était présente en nombre pour écouter le roman de Jeanne d’Arc et déambuler entre les stands, où on pouvait utilement compléter nos cadeaux de Noël. Cadre superbe et organisation parfaite pour cette fête du livre. L’occasion pour votre serviteur de se faire dédicacer « la compagnie des anges » de notre ami Laurent Dandrieu en visite sur les terres nantaises.

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Laurent, tu seras le bienvenu à Nantes !

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Philippe de Villiers

Deuxième rendez-vous, plus militant cette fois, notre cercle d’étude mensuel qui s’est déroulé à l’issue de la fête du livre. L’immigration était le thème retenu par Marco et Antoine, qui nous brossèrent un tableau hélas dramatique de ce sujet. S’il n’y avait une seule chose à retenir, c’est l’impossibilité pour la France de conduire une politique indépendante du moloch européen, pour réguler et contrôler les flux migratoires. La république nous livre pieds et poings liés à un système qui vise à supprimer les frontières et permettre à n’importe quel migrant de s’installer en France pour bénéficier des largesses des aides publiques. Les français supporteront-ils encore longtemps cette gabegie et les « effets secondaires » d’une immigration non contrôlée (insécurité, islamisme conquérant…) ? Seul un pouvoir fort et indépendant serait capable de taper du poing sur la table et faire comprendre aux étrangers qu’ils n’ont pas à fouler notre sol sans y avoir été cordialement invité. A part un Roi…

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Et mention spéciale à nos camarades Rennais qui ont profité de la fête du livre pour assister également au cercle.

Amaury de Perros