17/01/2009
Bonne année 2009

Soudarded ne souhaite pas une bonne année 2009 :
- au personnel politique dans son ensemble, pour son abyssale médiocrité et ses trahisons chroniques,
- à ceux qui démantèlent notre "doulce France" par abandon de notre souveraineté au profit d’un libéralisme sauvage et d’institutions mondialistes,
- aux banquiers véreux et autres vides goussets,
- aux massacreurs de la langue française,
- aux laudateurs du politiquement correct,
- aux apologistes du métissage universel,
- aux rappeurs et autres sous-produits de la sous culture anglo-saxonne,
Bref, à tous ceux qui me font regretter de ne pas être né au 18ème siècle.
La liste n’étant hélas, pas exhaustive, je vous épargne la suite de cette litanie dont la simple rédaction fait monter la cadence d’un palpitant que je cherche à préserver.
Si vous ne vous reconnaissez pas dans cette liste infernale, veuillez recevoir tous les bons voeux de Soudarded.
15:50 Publié dans Manifeste Soudardien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : voeux, bonne année
15/12/2008
Darcos ou l’illusion du pouvoir
Franchement, qui aura douté un seul instant que la réforme présentée par le maintenant « futur ex ministre » Darcos (avenir plutôt prévisible, désolé Xavier), avait la moindre chance d’être appliquée, ni même d’être initiée ?
Il aura suffit de quelques réunions d’ados devant leur lycée ou de quelques cortèges dans les rues, pour faire reculer une fois de plus le ministère de l’éducation. Il est en France des traditions qu’il ne faut pas voir disparaître ! A croire qu’il n’y a pas de fonction ministérielle réussie, sans sa réformette avortée sous pression de la rue (Devaquet, Allègre, Ferry…).
Toutes les explications du « futur ex ministre » n’y feront rien. L’argument “d’approfondir le travail d’explication sur le lycée” ne tient pas la route. Les erreurs de communication du ministère et la fronde des lycéens ne sont-elles pas des excuses faciles devant deux faits beaucoup plus grave : la peur panique devant la rue avec ses débordements éventuels, et une absence de volonté dans l’action.
D’une part, depuis l’affaire Malik Oussekine en novembre 1986, tous les gouvernements, UMP et consorts, ont la hantise d’une nouvelle « bavure » qui ébranlerait le pouvoir en place. Surtout, et cela est riche d’enseignement, les hommes du pouvoir sont tétanisés par la crainte de voir la rue aux mains des anars et autres casseurs, qui savent s’introduire dans les manifestations étudiantes pour commettre forfaits et rapines. Les récents évènements en Grèce ont-ils scellé le sort de la réforme Darcos ? Cela est probable.
Indépendamment de la justification ou non de cette réforme, on peut s’interroger sur la possession réelle du pouvoir en France. Qui gouverne ? Qui dirige ? Un gouvernement qui montre ostensiblement ses biceps depuis l’élection de l’agité magyar, mais qui se dégonfle au moindre bruissement de la rue ? Des syndicats définitivement à la remorque des revendications d’une base dont ils ne savent plus anticiper les aspirations ? Ou la cohorte des casseurs anarcho-hooligans de banlieue qui s’en prennent aux commerces et à nos enfants (qui croient naïvement se donner le grand frisson de la rébellion estudiantine sur le pavé de nos villes) ?
Là où il n’y a pas de volonté, il n’y a plus de pouvoir. Une fois de plus, l’épisode tragi-comique du jour est révélateur d’une illusion. Notre système politique à l’apparence de l’autorité, avec un gouvernement ayant la semblance d’une stratégie. Les exemples ne manquent pas dans cette duperie politique, où l’on nous fait croire que l’on est gouverné alors que le personnel en place se contente de gérer une rente de situation. Pas un jour ne se passe sans que l’on apprenne qu’une défaillance ou une malversation d’un établissement bancaire, anglo-saxon le plus souvent, ne mette en péril des pans entiers de notre économie. Par inconscience, par ignorance, par complicité peut-être de nos dirigeants, mais en tout cas par absence d’une réelle politique nationale, notre économie est à la merci de ces aigrefins.
Alors que la France est vouée au pillage économique par des détrousseurs militants de la mondialisation totale, on veut encore nous faire croire que le personnel politique en place est toujours maître à bord, l’œil du commandant fièrement fixé sur l’horizon et ses jours meilleurs. Quand le murmure de la rue et la crainte de débordements font reculer toute réforme ou tentative de changement (encore une fois, sans juger de son intérêt ou de sa justification), il devient évident que le vrai pouvoir ne siège plus dans les lambris hérités des palais de l’Ancien Régime, mais dans les cercles d’institutions financières affranchies des états nations, et dans les commissions d’organisations supra nationales.
Les « élites » politiques en France ont perdu toute volonté de mener en toute indépendance, la moindre action nationale, qu’elle soit économique, industrielle, diplomatique ou même culturelle.
Les palais de la république sont des villages Potemkine, destinés à ces idiots d’électeurs, qui gobent encore les fadaises qu’on leur livre. Pour combien de temps encore ? Combien de temps accepterons-nous de nous illusionner devant ces pantins qui réclament notre bulletin de vote pour occuper des postes où ils n’ont plus aucune autorité, puisque ayant délégué auprès d’institutions supra nationales. Ils n’ont aujourd’hui ni crédibilité, ni donc légitimité pour rester à la tête de celui-ci.
Et au-delà des hommes, n’est-il pas temps de se poser la question des institutions. Ne sont-elles pas non plus des illusions ? N’est-il pas temps de casser le vieux modèle républicain et jacobin qui n’a plus de fonctions, si l’on souhaite encore notre indépendance ?
A moins que ce modèle centralisateur soit finalement bien utile à ceux qui nous gouvernent, afin d’exercer leur influence et leur domination.
"Je ne comprends pas pourquoi les gens en veulent tant au gouvernement; il n'a pourtant rien fait." (Bob Hope)
21:59 Publié dans Chroniques Apocalyptiques | Lien permanent | Commentaires (0)
11/12/2008
"On nous cache tout, on nous dit rien" (*)
- Tu me refais le coup du : c’est la révolution française la cause de tout ça ?
- Non, la Révolution a été une tragédie. Mais elle nous a fait entrer dans une nouvelle ère qui aurait pu être bénéfique. C’est le sang du peuple qui a été versé ; mais qui a orienté, guidé la Révolution pour en tirer le bénéfice ? La Bourgeoisie, les grands commerçants, les banquiers de l’époque ! Et comme malins ils étaient, ils ont mis en place un nouveau système à leur avantage, en se gardant bien de reproduire l’erreur du précédent : mettre une tête au sommet de la pyramide du pouvoir. Une tête à renverser dès que le peuple serait en colère. En élaborant ce qui allait devenir notre nouveau système, ils ont déshumanisé la pyramide du pouvoir, pour faire en sorte qu’on ne puisse plus se rebeller. Contre qui ? Si aujourd’hui la France voulait tout changer, si elle n’en pouvait plus de payer des impôts, d’obéir des lois injustes, de ne pas avoir des conditions de vie décente, que pourrait-elle faire ? Aller dans les rues et renverser le président ? Pour en mettre un autre à sa place et recommencer… Non, tout le monde le sait bien ! On ne peut même pas descendre et tout casser, on est trop dépendants du système, les rouages, c’est nous !
- Les types qui ont fait la Révolution n’en pouvaient plus d’être affamés, c’étaient pas des comploteurs professionnels !
- Tu ferais bien de relire l’Histoire entre les lignes. Qui a déclenché les hostilités, puis les règlements de compte entre eux pour le pouvoir ? Et surtout, étudie les dates des révolutions, des déclarations d’indépendance, tu verras comme elles apparaissent un peu partout dans les symboles occultes rattachés à certaines sectes. Sur le dollar, par exemple…
Maxime Chattam – Les arcanes du chaos
(*) Jacques Dutronc, paroles de Jacques Lanzmann
23:12 Publié dans Textes fondamentaux (Fais marcher ton neurone !) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bourgeois, pouvoir
08/12/2008
Miss Saussisse 2009

19:06 Publié dans Irrespectueusement vôtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : miss, bourrage de crâne
04/12/2008
« Neige en décembre, impôts en avalanche »
Pour ceux qui ne s'en seraient pas aperçu, le réchauffement climatique fait encore des siennes.
Il neige en décembre. Inquiétant, non ?
Quant à ceux qui ne seraient pas convaincus de la véracité du Dogme, les esprits savants et les spécialistes autoproclamés de la chose, savent nous mettre élégamment devant nos responsabilités :
"Mode de vie ou changement climatique, il vous faut choisir" (Sunita Narain, indienne et spécialiste des questions d'écologie)
Traduction indi-français : « toi y’en a payer encore plus impôts »
Voilà, voilà, voilà ...
AFP, mercredi 3 décembre 2008 :
Des chutes de neige rendaient les déplacements difficiles mercredi en Lorraine où l'autoroute A30 a été coupée à la circulation des poids-lourds en Meurthe-et-Moselle et en Moselle, selon le Centre régional d'information et de coordination routière de l'est (CRIRC Est).
AFP, jeudi 4 décembre 2008 :
La saison de ski démarre "en fanfare" dans les stations de ski françaises, où le froid et la neige sont au rendez-vous, et la crise économique n'a pour l'heure pas eu d'impact sur les réservations qui sont en hausse, selon les professionnels de la montagne.
L’Equipe, mardi 2 décembre 2008 :
A la veille de son match face à Manchester City, le PSG est arrivé en Angleterre mardi peu avant midi (heure française). Les Parisiens ont été accueillis par une météo exécrable (gel, chutes de neige)...
AFP, samedi 29 novembre 2008 :
La préfecture du Puy-de-Dôme a déclenché samedi soir le "plan intempéries Massif central", des chutes de neige étant en cours dans le Cantal et en Lozère, ce qui entraîne l'interdiction aux poids-lourds de l'autoroute A75, a-t-elle annoncé dans un communiqué.
Je me demande parfois si on nous prend pas pour des c.. !
On est quand même prié de se procurer sans plus attendre, le Nouveau Petit Livre Rouge de la Grande Timonière, Evelyne Dhéliat : « C’est bon pour la planète ».

'J'ai failli téléphoner aux prévisions météo pour leur dire que j'allais leur livrer les pelletées de "partiellement couvert" que j'ai du dégager de ma voiture ce matin' (Mart Sloan)
18:08 Publié dans On nous prend pour des c.. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : désinformation
28/11/2008
Manifeste Soudardien
Après moult hésitations, sous la pression amicale de son fan club, et surtout parce qu’il n’a pas grand chose à faire en moment, objecteront les fourbes, Soudarded, cyber-sniper et spetsnaz virtuel, décide de porter l’estocade finale sur la toile.
Fort bien. Mais pour quoi faire au juste ce blog, Ô Soudarded !
Pour faire d’jeun malgré le poids des ans, l’état de ses artères et de sa calvitie (que je ne puis plus dissimuler aux plus de 170 cm) ?
Je vous rassure sympathiques cyber-lecteurs inconnus. Je n’évoquerai pas dans ces colonnes une quelconque passion Ségolienne ou pour le petit sachem Elyséen. Vous ne trouverez pas non plus ici ma recette hallal de l’aligot ; pas la moindre information sur une activité de cervalobélophile forcené ; et rien sur une quelconque passion déviante pour Cindy Sander.
Assurément, tout cela serait d’un commun et d’un ennui abyssal, non ? En tout cas, cela ferait injure à votre intelligence et à l’ouverture d’esprit que je crois discerner en vous, Ô lecteurs.
Que nenni. Foin de toutes ces vulgarités digitales, ce blog vise très modestement, à canarder tout ce qui mérite de l’être dans ce bas monde.
Ce dernier semble enfin se décider à tomber dans un état de déliquescence absolument intégral. Tout ce qui se passe sous nos yeux, semble nous rapprocher inexorablement d’une Apocalypse promise par le Grand Livre. Alors, autant participer à la fête finale et en profiter joyeusement pour flinguer et dézinguer tout ce qui révulse, tout ce que ce monde produit de grossier, d’abject, de laid et de vulgaire. Vaste programme, comme disait l’autre !
J’en conviens, ce blog sera complètement subjectif, mais je m’en tamponne le coquillard avec une patte de langoustine, voyez-vous, chers lecteurs.
Il y a en effet un certain nombre de thèmes, de gugusses ou d’évènements qui provoquent régulièrement l’ire de votre serviteur. Alors pourquoi ne pas faire partager cette Sainte Colère, plutôt qu’intérioriser égoïstement mon courroux (c’est mon psy qui me le conseille, d’ailleurs. Mon gastro-entérologue aussi, histoire de soulager un ulcère terriblement affectueux depuis quelque temps. Une thérapie, en somme).
Mes détracteurs, dont je sens déjà le souffle de leur haleine fétide, objecteront que tout ceci n’est qu’œuvre de destruction, où je n’offre pas la moindre réponse, ou le plus petit remède à tous ces maux que je prétends pourfendre. Erreur ! Kolossale erreur, même !
Soit, je tire à vue, je disperse, je ventile, je sulfate avec une jouissance non dissimulée, mais si vous LISEZ bien entre les lignes, chers contradicteurs, vous y trouverez peut-être aussi matière à une saine réflexion. Mon ambition sera d’arriver à faire fonctionner votre dernier neurone actif, vous servant habituellement à ingurgiter votre dose quotidienne de foutaises dispensées par la « Propaganda Staffel ».
Ferez-vous cet effort ? Je crois que oui.
La preuve, vous êtes toujours en train de lire ce blog ! Prometteur.
En parcourant ces premières lignes donc, vous aurez noté mon aversion pour ce monde d’une laideur insondable, où tout ce qui est bas, vil ou obscène, semble être vertu, et perfection de l’être humain. Modestement, je tâcherai de dénoncer ces abjections, cette pornographie intellectuelle qui souille nos esprits.
En gros, dénoncer le Faux pour révéler le Vrai, et déceler le Laid pour brandir le Beau (lyrique, non ? Il est vrai un peu pompé chez Jalons).
Je ciblerai donc la « médiocritude » ambiante (vous voyez déjà une référence là, hein ?), le foutage de gueule généralisé et le politiquement correct maintenant érigé en dogme absolu. C’est dire si les cibles ne manqueront pas !
Sur ce, Sabre au clair !
Avertissement :
Mes cyber-emportements étant pleinement dépendants de l’actualité et de mon indice d’énervement, je ne puis garantir une parution quotidienne de ma petite prose assassine. J’ai aussi un vrai boulot, légèrement consommateur en temps. Je réclamerai donc ton indulgence, noble lecteur (surtout au vu du tarif de l’abonnement).
12:00 Publié dans Manifeste Soudardien | Lien permanent | Commentaires (0)