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28/01/2010

Nouvelles fraîches du monde avarié (chap. 7)

Azouz Begag ou comment tenter de sortir du néant

 «Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l'on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité.» Azouz Begag

 Soudarded, faute d'une vision prophétique aussi pointue que celle de notre ami Azouz, et probablement parce qu'il ne perçoit pas très clairement ce que pourrait être l'identité commune entre un français, un arabe d'Arabie et un africain d'Afrique, se contentera que clamer haut et fort :

«Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l'on se serre les coudes les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité.»

 Pour autant je ne saisi pas complètement la logique de notre sidi Begag. Au nom de quoi nos amis chinois ne pourraient-ils pas également bénéficier de notre proverbial sens de l'accueil (sonnant et trébuchant) et de notre amour à sens unique, des autres peuples. Y veut pas partager la gamelle, l'Azouz ?

Navrant.

 Je crains fort qu'avec ce genre d'inepties vexatoires, je ne puisse bientôt plus manger moult « nems » et autres « porc au caramel » au « Dragon Impérial » de mon quartier.

Désolant.

 Question subsidiaire et taraudante: un restaurateur chinois musulman peut-il aussi servir du « porc au caramel » ?

Flippant.

   

« Ils nous vendront la corde pour les pendre » (Lénine - prophète raté)

 Le siège historique de l'Humanité à Saint-Denis (93) a été racheté pour 12 millions d'euros par l'Etat qui envisage d'y installer la sous-préfecture. Il était en vente depuis 3 ans afin d'apurer les dettes du journal.

Bel exemple de solidarité avec le monde de l'édition en crise. Surtout quand c'est en faveur d'un quotidien renommé pour son indépendance d'esprit et sa non compromission avec le grand capital (rires dans l'assistance...).

Mais que le Groupe Bouygues et le Groupe Lagardère aient mis des fifrelins pour sauver le journal d'un bouillon quasi assuré, peut-il être pris comme un geste vraiment désintéressé, et cela ne risque t'il pas de remettre en cause la ligne anti-capitaliste du journal (rires gras de cégétiste dans l'assistance...) ?

Et au nom de la pluralité politique et de la démocratie, on serait en droit d'attendre un geste similaire en faveur d'un certain « paquebot », en vente à Saint-Cloud depuis quelques mois  (rires crispés dans l'assistance...).

Et pourquoi pas dans ce cas, un petit coup de pouce pour une revue comme « L'Action Française 2000 » ?

Mais mon petit doigt me dit que survivre dans tant de dénuement, est sûrement un gage de réelle indépendance.

 

 EBAY au secours des cadeaux foireux

Toi aussi petit palestinien, grâce à Ebay tu peux vendre ou échanger ta panoplie ridicule de martyr, contre un vrai joujou de ton âge.

 Art 54 - Nouvelles fraîches du monde avarié chap 7.jpg

Happy birthday, mister pwézident !

Affaire Clearstream: Dominique de Villepin relaxé !

(Cliquez sur le texte ci-dessus et activez le son)

 

07/01/2010

Soldes: The afghan touch

Le dilemme des soldes : niqab ou burqa

 

Art 52 - Soldes, Yalla !.jpg

20/12/2009

Nouvelles fraîches du monde avarié (chap. 6)

 

Dutronc : en forme subliminale

 

Notre Dutronc national est sorti de sa réserve Corse pour préparer une tournée (hips !) dans les salles de concert en 2010. Venu se produire au « Grand journal » de Canal+ le 15 décembre dernier, notre Jacquo est en grande forme. J’ai en effet dû ré-écouter l’émission sur le site de la chaîne boboïsante, pour être bien sûr de ce que j’avais entendu.

Charriant avec un amusement non feint un de ses musiciens n’ayant pas compris qu’il devait lancer les premières notes de « Et moi, et moi, et moi… », l’ex dandy de sixties nous a gratifié d’un :

"...ben alors, il est bourré ou quoi. On perd du temps...on Pierre Dudan, pardon ..."

 

Discret jeu de mot sur le patronyme Dudan, auteur, compositeur et interprète de talent ayant composé notamment "Café au lait au lit" ou Clopin-clopant". Ca ne mériterait pas plus que cela, sauf que le Dudan en question fut aussi un réac de première importance, et que son dernier disque en 1982 (que je possède toujours d’ailleurs), s’intitulait « Politique d’abord ». Ce n’était pas une mise en musique des écrits de Charles Maurras, mais certains titres de chansons ne laissent planer aucun doute sur les penchants politiques de l’artiste russo-helvète : « les Fachos », « Frère d'exil », « Sainte Jehanne », « Je relis Brasillach », entre autres.

 

Une légende urbaine, et royaliste, prétend que le fumeur de cigares fréquentait dans sa prime jeunesse les rangs de l’Action française, et qu’il aurait même vendu à la criée, le journal du mouvement « Aspects de la France », avant donc de dynamiter vocalement les années soixante, faute d’avoir pu dynamiter la république. Mon esprit tordu me fait penser que l’allusion à Dudan n’était donc peut-être pas uniquement artistique…

 

http://player.canalplus.fr/#/301209 pour revoir la séquence (le passage subliminal en question, vers 06:55mn)

 

 

Pierre Bergé, la Grande Tartuffe

 

 

L'homme d'affaires Pierre Bergé, à la tête du Sidaction, a vivement critiqué samedi le Téléthon, qui selon lui «parasite la générosité des Français d'une manière populiste».

«Soyons clair, je n'accuse personne de détourner de l'argent (...), mais j'accuse que 100 millions pour le Téléthon ne sert à rien» ; «Les organisateurs du Téléthon ont trop d'argent, ils achètent des immeubles», a-t-il dit. «Moi je parle pour le sida, mais il n'y a pas que le sida. Le Téléthon parasite la générosité des Français d'une manière populiste, en montrant des enfants myopathes, en exhibant le malheur des enfants. Je trouve ça absolument inadmissible.». (Source AFP)

 

Vraiment pas contente notre Pierrette, ex-moitié d’Yves Saint-Laurent et tourmenteur des mannequins de la maison du même nom ! Autant de brouzoufs qui échappent aux copines, c’est trop injuste. Depuis le temps que les taffioles attendent qu’un vaccin leur permette enfin de s’envoyer en l’air dans les arrières salles glauques des boites du Marais, sans avoir à se préoccuper des conséquences de leurs empapaoutages, et voir toute cette manne leur passer au raz des faux cils, expliquerai donc cette petite crise de jalousie.

 

Mais au fait, Pierrot, n’aurais-tu pas un peu d’argent de côté, depuis que tu ne  finances plus les frasques de la charentaise hystérique, et que tu ne fermes plus les yeux devant les dépenses inconsidérées de la soubrette poitevine ? De plus, les ventes de ta collection personnelle du temps de ton idylle avec YSL, auraient semble t’il, rapporté largement de quoi regarnir une garde robe que j’imagine déjà très conséquente. Cette manne ne pourrait-elle pas être utilisée pour la lutte contre ce fléau qui décime, entre autres pauvres victimes collatérales, ton clan d’androgames et de gitons ? Combien déjà ? Bof, trois fois rien, une misère : 373,5 pauvres millions d'euros.

 

… juste 75 fois le montant du Sidaction 2008…

 

Alors mon minet, quitte à éreinter le Téléthon, autant le faire avec un peu plus de discernement. En montrant par exemple, que faute de trouver une thérapeutique efficace, l’argent récolté a surtout contribué à rendre plus efficace la détection des maladies neuro-musculaires. Un vrai progrès ? A voir. Car tuer un fœtus atteint de la maladie de Steinert ou de la myopathie de Duchenne de Boulogne, plutôt que s’efforcer de trouver un remède à ce fléau, peut-il être considéré comme un progrès de la médecine ? Je te laisse méditer.

 

Bergé ? Tartuffe au pays de la générosité.

 

 

 

Kadhafi, agent recruteur

 

Kadhafi en plein délire à Rome

Le leader libyen Mouammar Kadhafi s’est fait organiser hier soir à Rome une rencontre avec centaine de jeunes Italiennes, recrutées via une agence d’hôtesses, auxquelles il a recommandé de se convertir à l’islam.

 

Les jeunes femmes, sélectionnées pour un cachet prévu de 50 à 60 euros, devaient mesurer au moins 1,70 m, être “plaisantes” et “bien habillées”, même si décolletés et mini-jupes étaient proscrits. Convoquées dans un hôtel de luxe sans savoir exactement qui elles devaient rencontrer au cours de la soirée, elles ont été conduites à bord d’autocars à la résidence de l’ambassadeur de Libye. Kadhafi a stupéfié les jeunes filles, qui s’attendaient à participer à une fête, en leur délivrant une heure durant une leçon d’histoire sur les rapports entre l’Islam et l’Occident et le rôle de la femme.

 

Le leader ténébreux de la « Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste » nous manquera beaucoup le jour où il rejoindra les 1000 vierges promises par son patron et à ceux qui ont bien mérité de la cause coranique (promesse que personne n’a encore vérifié).

 

En tout cas, quitte à inviter à ma table un fanatique islamique (peu probable), je choisirais le bédouin de Tripoli, plutôt que ce tristounet de Ben Laden. Au vu de l’anecdote italienne, il doit avoir de croustillantes histoires à narrer.

 

Et puis, d’un autre côté, la méthode employée pour passer une soirée avec une centaine de tendrons dotés d’un QI de bigorneau, impose quand même le respect. Trop fort ce Mouammar.

 

 

Honnêteté, probité et fraternité

 

 

Graves erreurs de procédure chez les francs-maçons

Le 20 novembre, la Chambre suprême de justice maçonnique (CSJM) a annulé tous les votes du Convent du Grand Orient (GO), réuni à Lyon du 3 au 5 septembre. Une telle décision, rarissime, est liée à de graves erreurs de procédures au moment de la consultation des 1 200 délégués, qui ont porté atteinte à la sincérité du scrutin. Le Conseil de l'ordre du GO se réunira le 26 novembre pour tirer de cette affaire.

 

Je serais toujours ébahi par cette propension de frères « trois points » à nous donner des leçons de démocratie, alors que le fonctionnement des obédiences est truffé de malversations, de filouteries et de divers scandales.

 

« Erreurs de procédures », « atteinte à la sincérité du scrutin ». Le fonctionnement habituel de la démocratie, en somme.

20/11/2009

Grand-Marnier, ça sentait si bon l’enfance …

Grand-Marnier, ça sentait si bon l’enfance …

 

Art 50 - Grand-Marnier, ça sentait si bon l’enfance.JPG

Le Groupe Marnier-Lapostolle, fabricant de la liqueur Grand-Marnier à base de cognac et d'orange, a annoncé jeudi qu'il fermerait à la fin 2012 son site historique de Neauphle-le-Château (Yvelines). Des questions de sécurité empêcheraient l'entreprise de continuer à fabriquer de l'alcool sur place, a indiqué la direction. La liqueur sera alors produite dans deux autres sites du groupe dans l'Eure et en Charente. (Leparisien.fr).

 

 

Je ne m’insurgerai pas ici contre les méfaits d’une mondialisation agressive puisque pour une fois, la production de cette liqueur continue en France. Non, Grand-Marnier pour moi, c’est juste un pan de mon enfance qui va s’évanouir avec l’arrêt de cette production, dans un village que j’ai tant aimé pendant les trente années de ma vie où j’y ai vécu. Rassurez-vous, je n’ai pas été perverti par des parents indignes, qui me faisaient ingurgiter force « Red Lion » ou de « Grand Cosmopolitan » dans ma tendre enfance. Mais maintenant éloigné de cette jolie commune, je n’ai jamais oublié les senteurs orangées qui émanaient de la distillerie lorsque je flânais dans les rues de cette ancienne cité, jadis résistante à un envahisseur anglais qui, ne pardonnant pas cette effronterie, en démantela ses remparts pour toujours.

 

Les petits neauphléens de demain n’auront plus le plaisir de sentir les douces effluves d’orange qui flottaient jusque dans la cour de l’école Emile Serre, où nous jouions alors. C’est un peu l’âme de ce village qui s’enfuit avec la disparition de Grand-Marnier. Je ne crois pas prendre de risque en imaginant que les locaux serviront bientôt à de nouvelles agences immobilières ou bancaires.

 

Oui, ce village bi-millénaire avait une âme, forgée entre autre par sa longue histoire. On pourra relire la saga des « Rois maudits » de Maurice Druon, dont une partie de l’intrigue se passe à proximité, à Neauphle-le-vieux très précisément. J’ai toujours aimé le côté provincial de Neauphle, malgré sa proximité d’avec Versailles la ville Royale ; j’aimais ce village avec ses fermes et ses cultures céréalières, ses commerçants aux boutiques parfois désuètes, comme la droguerie de la famille Mascret, où je faisait provision de maquettes pour m’occuper certains mercredi trop peu studieux ; j’aimais ce village ou se côtoyaient maisons bourgeoises et logis modestes, bâtisses anciennes et maisons à l’architecture parfois audacieuse, le tout sur la plus petite superficie communale et point culminant naturel d’île de France, où tout le monde se connaissait ou presque.

Côté ouest, la commune surplombe une plaine sillonnée par la RN12 qui permet de rejoindre la Normandie. Les habitations en surplomb de la plaine remplacent aujourd’hui les remparts de jadis. Visuellement, quand on vient de cette plaine et de Montfort l’Amaury, on ne peut qu’être impressionné par ce piton rocheux, qui barra naguère la progression des envahisseurs normands, puis anglais. Plus au sud, il existe cette frontière naturelle qu’est la forêt de Plaisir, où petit écolier je faisais d’instructives escapades avec maîtres et maîtresses de mon école, et bien plus tard de longues randonnées dominicales (instructives aussi, mais avec d’autres genre de maîtresses…passons). Sur un autre versant du village, de grands champs nous séparent de la tentaculaire ville de Plaisir, autre barrière naturelle renforçant le côté village gaulois de notre commune.

 

L’âme de Neauphle, c’était aussi son côté pipole avant l’heure. Certaines célébrités élurent domicile dans notre village, histoire de vivre en relative discrétion et se protéger des fureurs de Paris, tout en restant à moins d’une heure de la capitale. Marguerite Duras et ses très douteuses fréquentations logeait place Mancest ; Guillaume Depardieu y acheta, sans jamais l’habiter, un magnifique manoir avenue de la république, en surplomb de la vallée. C’est aujourd’hui un hôtel restaurant de bonne renommée ; Robert Lamoureux vivait également dans les parages et achetait ses voitures au garage Renault de la rue Saint-Martin ; on y croisait une chanteuse beurette, tellement oubliée que même son nom ne me revient pas, c’est dire ; enfin, l’acteur Rufus, que je retrouvais très régulièrement sur les quais de la gare de Plaisir.

 

Mais celui qui les dépassa tous en renommée, à l’exclusion de votre serviteur bien évidement, et qui rendit Neauphle-le-Château internationalement célèbre, est un vieux barbu Perse vouant une haine pathologique et tenace envers son souverain le Chat Shah d’Iran Mohammad Reza Shah Pahlavi. Ruhollah Al-Moussawi Al-Khomeiny est le quidam en question, vous l’aurez certainement reconnu. Notre village est donc en partie à l’origine du bouleversement géopolitique majeur des dernières décennies. Rendez-vous compte, fut un temps, la principale artère de Téhéran avait été baptisée « Avenue Neauphle-le-Château », en signe de reconnaissance de la république des Mollah, pour le confortable hébergement dont a bénéficié le perturbateur chiite. On aura heureusement échappé de peu au jumelage. Des années plus tard, tendre ma carte d’identité à n’importe quelque quidam de France ou de Navarre, provoquait toujours une foultitude de questions sur le sujet, la première d’entre elles étant de savoir si j’avais déjà vu le barbu en question. Bah oui, ma p’tite dame ; même que le mollah velu n’arrêtait pas de pourrir notre existence de collégien en provoquant régulièrement l’arrêt de notre bus scolaire, quand « Mossieur le guide spirituel » souhaitait traverser la rue pour rejoindre sa salle de prière. Inutile également de préciser que le taux de policiers au mètre carré était probablement le plus élevé de France et que les brigands et autres détrousseurs de grand chemin n’avaient pas trop intérêt à traîner dans les parages. L’hôte du diamantaire Elyséen méritait bien une telle attention. Il y eu quand même un grand bénéficiaire dans tout ce ramdam, un entrepreneur de la commune qui fit son beurre avec le gourou de Qom. Le paternel d’une copine de classe était le pourvoyeur officiel en volaille du représentant en tapis et en fatwa. Les volatiles de la région eurent à déplorer de lourdes pertes. Les exécutions de masse, déjà. Le charcutier local lui, était moins enthousiasmé par les habitudes culinaires musulmanes, et ne vit pas son chiffre d’affaire suivre une même courbe exponentielle. Quand à nous, petits neauphléens, bombant fièrement le torse devant nos petits camarades du collège de Montfort, nous avions définitivement enterré toute velléité de renommée de la part des autres bourgs de la région ! Non mais.

 

Quand le chieur chiite a définitivement quitté notre village, nous croyions alors retrouver notre tranquillité de petite bourgade francilienne. Las, ses adversaires en signe d’allégresse ou de dépit, firent sauter la salle de prière en pleine nuit. Un attentat à Neauphle ! Je vous jure que ça a alimenté les causeries dans la cour de récré, car nous n’étions pas vraiment habitué à ce genre de péripéties. Les pétards c’est le 14 juillet, point barre ! Z’auraient mieux fait de s’y prendre un peu plus tôt pour nous débarrasser définitivement du barbudos islamiste. Ca nous aurait peut-être évité les élucubrations des enturbannés de services et de kamikazes mahométans qui perturbent régulièrement les souks de Bagdad ou de Peshawar, quand ce n’est pas Londres ou Paris à la station Saint-Michel. Et que serait alors notre monde sans le 11 septembre ? Vertigineux quand on y songe, non ?

Autre anecdote sur le sujet, je me souviens qu’un après midi, je fus abordé par de sombres sbires mal rasés et vêtus de vieux costards froissés. Baissant la vitre fumée de leur limousine noire, ils demandèrent en anglais à l’adolescent que j’étais, de leur indiquer l’emplacement du pavillon du Guide Suprême (dans un anglais à la Peter Sellers, comme dans « The Party »). Môman m’ayant toujours dit de refuser de monter dans la voiture de quelqu'un que je ne connaissais pas, je me suis donc contenté de tendre le doigt et balbutier la direction à prendre. Si ça se trouve, Marmoud Armaninejad était parmi eux… J’en frémis encore.

 

Bref, plus de Khomeiny, plus de Duras, plus de Soudarded non plus, et maintenant plus de Grand-Marnier. Que reste t’il à Neauphe-le-Château ? Des banques, des agences immobilières, des banques, des agences immobilières, des banques, des agences immobilières… le fric, le fric, le fric…

 

 

Grand-Marnier, ça sentait si bon l’enfance.

 

Irlande, pardon…

Irlande, pardon…

 

 

« GOD SAVE IRELAND ! » (²cliquez sur le titre !)

 

High upon the gallows tree swung the noble-hearted three.

By the vengeful tyrant stricken in their bloom;

But they met him face to face, with the courage of their race,

And they went with souls undaunted to their doom.

"God save Ireland!" said the heroes;

"God save Ireland" said they all.

Whether on the scaffold high

Or the battlefield we die,

Oh, what matter when for Erin dear we fall !

Girt around with cruel foes, still their courage proudly rose,

For they thought of hearts that loved them far and near;

Of the millions true and brave o'er the ocean's swelling wave,

And the friends in holy Ireland ever dear.

"God save Ireland!" said the heroes;

"God save Ireland" said they all.

Whether on the scaffold high

Or the battlefield we die,

Oh, what matter when for Erin dear we fall !

Climbed they up the rugged stair, rang their voices out in prayer,

Then with England's fatal cord around them cast,

Close beside the gallows tree kissed like brothers lovingly,

True to home and faith and freedom to the last.

"God save Ireland!" said the heroes;

"God save Ireland" said they all.

Whether on the scaffold high

Or the battlefield we die,

Oh, what matter when for Erin dear we fall !

Never till the latest day shall the memory pass away,

Of the gallant lives thus given for our land;

But on the cause must go, amidst joy and weal and woe,

Till we make our Isle a nation free and grand.

"God save Ireland!" said the heroes;

"God save Ireland" said they all.

Whether on the scaffold high

Or the battlefield we die,

Oh, what matter when for Erin dear we fall !