05/05/2012
Pestilentielles 2012 : Pourquoi Soudarded ne votera pas Sarkozy
Nous voici donc arrivés à la veille de faire un choix pour les cinq années à venir, le bon choix, comme disait le déplumé de Chamalières.
Le choix qui se présente à nous présente d’un côté, une vieillerie socialiste encore couverte de la poussière mitterrandienne de 1981, porteuse des pires « avancées » économiques, sociales et sociétales que l’on puisse imaginer et de l’autre, une marionnette atlantiste, manipulée par l’Europe de Bruxelles, voulant nous faire croire en la grandeur retrouvée de la France.
En « Hollandie » nous serons promis à l’étranglement fiscal, nous assisterons à l’envahissement par des hordes étrangères qui mangeront notre pain et nous ne pourrons que constater la désintégration de ce qui nous reste de culture chrétienne, de désacralisation des institutions et de la famille (mariage homo, adoption par les homosexuels, euthanasie, avortement encouragé).
La « Hollandie », c’est Sodome, Gomorrhe et « Soleil vert » réunis.
Reste donc l’alternative sarkozyste, qui semble être le choix raisonnable pour un français attaché aux valeurs traditionnelles. Certains « nationaux » auront d’ailleurs voté dès le premier tour pour le matamore à talonnette, adeptes d’une stratégie prudente visant à assurer la victoire de la « droite » et empêcher un duel Le Pen / Hollande, qui aurait immanquablement vu le triomphe du second le 06 mai. Maintenant que le mari de la chanteuse est qualifié, plus d’alternative possible, il faut donc faire barrage au valet des bolcho-écolos.
Vraiment ?
Soudarded ne mange pas de ce pain là. Crever de la peste ou du choléra, c’est crever quand même ! Et Soudarded veut vivre.
Les motifs qui m’empêcheront de glisser le bulletin du frénétique de l’Elysée sont légions. Je passe sur le côté bling-bling si vilipendé par les jaloux de la gauche caviar (Soudarded aurait voté Louis XIV sans hésitation, malgré un côté bling-bling largement plus prononcé et en tout cas de bien meilleur goût…). Je balaye d’un revers le fait que le locataire de plus en plus provisoire de l’Elysée nous ait imposé une première dame, dont l’anatomie s’étale sans pudeur sur Internet. Je n’insiste pas plus sur sa soumission servile, quoiqu’il en dise, à l’Europe des banques et à l’Otan. Pourquoi s’étendre davantage sur ses échecs cuisants en matière économique ou dans la réduction du chômage. Enfin, je ne m’appesantirai pas non plus sur ses dernières gesticulations visant à récupérer des voix frontistes devenues, par la magie d’un premier tour où il aura senti le vent du boulet, largement moins pestiférées qu’auparavant.
Non, un seul motif m’aurait suffit : le mépris de celui qui est sensé être le chef de nos armées pour ses soldats qu’il envoie au casse-pipe afghan. Rien que pour cet échange entre lui et Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, je ne lui donnerai pas ma voix (http://www.dailymotion.com/video/xqgdje_sarkozy-ne-connai...). Extrait :
- JJB : « rappelez nous combien de soldats français ont été tués en Afghanistan. »
- Sarkozy : « écoutez, à mon souvenir il doit bien en avoir 80, quelque chose comme ça, 70, 80… »
- JJB : « 80 et quelque chose ? 70 ? Combien Nicolas Sarkozy ? »
- Sarkozy : « plusieurs dizaines de soldats français… »
- JJB : « mais combien ? »
- Sarkozy : « plusieurs dizaines, je me souviens pas à l’unité près… »
- JJB : « 83 soldats ont été tués en Afghanistan, est-ce qu’ils sont morts pour rien ? Et les derniers morts, tués par des balles des soldats afghans que nous avons formés… »
« plusieurs dizaines, je me souviens pas à l’unité près… ».
Voilà comment le chef de nos armées considère les hommes qu’il envoie se faire trouer la peau dans un pays qui d’ailleurs, se « talibanisera » dès que les occidentaux auront plié bagage. Chassez le naturel, il reviendra en burqa.
C’est ainsi que se mesure la considération que porte cet homme envers ceux qui savent se sacrifier pour leur pays, même pour des causes aussi discutables. Et vous voudriez qu’il ait plus de considération pour nous, pauvres citoyens lambda. Foutaise !
Sarkozy porte en lui la trahison éternelle des hommes assoiffés de pouvoir dans ce régime de mort. Il trahira ceux qui croient naïvement en son discours de Le Pen « light ». Il est l’image vivante, l’incarnation faite de la République et de ses perpétuelles duperies.
Sarkozy n’est pas un Monk restaurateur de je ne sais quelle autorité, ni même un Bonaparte abattant un Directoire corrompu et acculé à la banqueroute. Sarkozy est un valet que le Système dirige et un minable pantin de ce mondialisme mortifère pour les nations et les civilisations.
Le pire étant déjà arrivé comme le rappelle François Marcilhac dans L’Action Française, monarchiste et français, je mettrais le bulletin suivant dans l’urne honnie :
RAPPEL
LES 12 & 13 MAI 2012, à l’appel de l’Action française (CRAF et RN) et de l’association « Avec Jeanne », tous les Français sont appelés à venir célébrer l’héroïne de la patrie.
LE 12 MAI 2012 / A Paris : ESPACE CLERY, 17 rue de Cléry 2° arrondissement, tables rondes à partir de 14h et grand meeting à partir de 17h30
LE 13 MAI 2012, CORTÈGE TRADITIONNEL: Rassemblement à 10 heures Place de l’Opéra
Voir détails ici: http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paris-12-et-13-mai-2012-Sous-le
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26/04/2012
Pestilentielles 2012 : chroniques putassières
Liste non exhaustive mais qui devrait très rapidement s’enrichir d’ici le 06 mai prochain, des tentatives de racolage auprès du vote national qui s’est exprimé lors du premier tour des élections présidentielles. Les rabatteurs sont en action.
Première salve :
- Pierre Moscovici : « La France doit combattre l’immigration illégale »,
- NDLR : à relativiser avec ce qu’écrit Marianne2.fr au sujet du vote musulman, à savoir « un réseau de quelques 700 mosquées qui devrait se mobiliser en faveur du candidat socialiste ». Flamby akbar !
- François Hollande : « il y a l'électorat de Le Pen, dont une part vient de la gauche et devrait se retrouver du côté du progrès, de l'égalité, du changement, de l'effort partagé, de la justice, parce qu'il est contre les privilèges, contre la mondialisation financière, contre une Europe défaillante »,
- Rachida Dati : « Les électeurs du FN ne doivent être ni stigmatisés ni méprisés. Nous disons aux électeurs qui se sont réfugiés dans un vote contestataire que Nicolas Sarkozy est le seul candidat du peuple (Ndr : sans blague !), le seul à même de les protéger »
- Nicolas Sarkozy : « Il y a des inquiétudes, des souffrances, des angoisses face à ce nouveau monde en train de se dessiner. Ces souffrances, je les connais, je les comprends. Elles portent sur la frontière, sur les délocalisations, sur l’immigration, la valorisation du travail et la sécurité »
- Nicolas Sarkozy : « Ce vote n'est pas répréhensible, Marine Le Pen a le droit de se présenter, donc elle est compatible avec la République » (24 avril 2012)
On admirera la souplesse intellectuelle des maîtres du système. Du grand art en matière de volte face, des « Edgar Faure » puissance 10.
Les cons, ça ose bien tout.
Qualifié jadis de fâchiste et de vil raciste adorateur de la bête immonde dont le ventre reste toujours fécond, l’électeur frontiste devient par la magie d’un scrutin potentiellement défavorable pour la coterie UMP-esque, un brave type, certes très aigri et plutôt ronchon, mais surtout naïvement fourvoyé par une aguichante walkyrie blonde. Les pauvres brebis égarées doivent donc être urgemment ramenée au bercail, au bercail républicain il va de soi.
Un Pater, trois Ave et un bulletin sarko-hollandiste le 06 mai prochain suffiront pour absoudre le mécréant. Mais prière de se tenir correctement aux législatives quand même.
Ces fossoyeurs de la nation osent ainsi bomber un torse soudainement très patriotique et se draper dans les plis du drapeau à l’image d’un Déroulède clamant « Qui vive ? France ! ». Est-ce le signe que quelque chose change enfin en France ? Le vote protestataire s’est visiblement mué en vote d’adhésion aux idées nationales. Même si cela ne peut consoler un cœur de monarchiste orphelin des lys royaux, cela donne quelque espoir dans la faculté de nos concitoyens à se révolter contre l’avilissement moral, le diktat bruxellois et la soumission aux idées progressistes.
Histoire de continuer à se gondoler des contorsions électorales de la clique politique, nous mettrons à jour régulièrement ce billet jusqu’au vote du 06 mai, en recensant toute nouvelle tentative de rabattage et de tapinage auprès du vote national. On obtiendra peut-être des pépites comme celle entendue dans l’émission « On refait le monde » de RTL, où le stalino-communiste bon teint Claude Cabanes, probablement déjà atteint par les premiers signes d’une dégénérescence mentale, osa déclarer :
« (à gauche) nous avons perdu le sens du drapeau tricolore…dans les années trente, Maurice Thorez disait {nous allons mêler les plis du drapeau tricolore et du drapeau rouge}. Et je me demande si aujourd’hui, depuis 68, on n’a pas un peu abandonné cette idée de la patrie et de la nation. Moi, je suis internationaliste, mais j’aime ma nation, j’aime ma patrie et je ne la laisserai nulle part humiliée.(Source : http://www.rtl.fr/emission/on-refait-le-monde/ecouter/on-...). Poivre d’Arvor s’est étranglé de stupeur devant un tel aplomb (l’échec de ce jour au poste d’ « immortel » ne va pas le faire rire non plus).
Le clandé, cinquième du nom, est toujours tenu par l’immonde mère maquerelle, la gueuse à bonnet phrygien. Elle n’en peut plus de s’avilir et se décomposer depuis 1792 et cherche d’autres putains pour son cheptel. Le recrutement est en cours pour toutes les Zahia du système qui iront se souiller dans le bordel républicain, ce bouge démocratique, ce bastringue citoyen et ce lupanar égalitaire.
Le « Chabanais » et le « One Two Two » de la belle époque avaient la classe eux, comparé au bobinard du « 55, rue du faubourg Saint-Honoré ».
On comprend mieux pourquoi certains imaginaient DSK en maître de maison…
23:08 Publié dans Carpettes d’Or et Panthéon des Pleutres, On nous prend pour des c.. | Lien permanent | Commentaires (0)
14/10/2011
France : Qui gouverne ?
Un article de Jean-Dominique Merchet (Afghanistan : on lève le pied avant de lever le camp :http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Afghanistan-on-leve-le-pied-avant-de-lever-le-camp_a381.html), révèle l’évolution majeure du calendrier de retrait de nos forces armées d’Afghanistan, calendrier semblant étroitement lié à l’échéance électorale de 2012.
Au delà du contexte local (et de la réussite de l’intégration des rebelles talibans dans une société enfin McDonalisée…), ce qu’il faut bien appeler revirement met surtout en lumière le manque de constance de l’action gouvernementale française.
Le traumatisme consécutif à de nouvelles pertes de soldats français (ou de journalistes – perte irremplaçable, s’il en est…), aurait le plus mauvais effet pour l’équipe provisoirement au pouvoir. Des voix, peut-être même celles du commandement français, pourraient alors s’élever contre le mode opératoire actuel de cette intervention, voire mettre en doute sa raison d’être tout court (là on touche au crime de lèse-majesté).
Ce qui ressemble de plus en plus à un départ en catimini, fusil sur l’épaule et queue basse, serait quand même assez peu glorieux, pour un pays qui offre généreusement sa puissance militaire afin édifier la Démocratie chez ces arriérés qui n’en ont pas encore la jouissance. Ce qu’on peut d’ores et déjà appeler échec, échec largement prévisible d’ailleurs, ne doit pas imputé à nos pioupious qui font admirablement bien leur mission, mais à Sarkozy et à une clique dirigeante à la remorque des Etats-Unis, Otan oblige.
Pestilentielle Présidentielle oblige donc, les hommes au pouvoir semblent réduits à gérer les affaires courantes, en se préservant de tout ce qui pourrait traumatiser l’opinion. Et donner ainsi du grain à moudre à une gauche qui n’attend qu’un tel « faux pas », pour s’imaginer déjà vautrés dans les lambris et les ors de l’Elysée. Le bourbier afghan pourrait alors devenir le tombeau de l’UMP. Déjà que l’affaire Karachi…
Une fois de plus, le système démocratique français et son enfant, l’électoralisme permanent, interviennent dans la conduite des affaires de l’état. Au-delà de l’aspect légitime ou non de l’intervention militaire en Afghanistan, le navire « état » navigue comme un voilier sans amarres, chahuté par les revirements de ministres et les renversements d’opinions. On mouille son froc, on pâlit devant les conséquences d’un éventuel couac sanglant sur le terrain à la veille du scrutin et on défaille d’avance d’avoir à rendre des comptes à des familles éplorées par la perte d’un fils ou d’un époux. Pire encore : avoir à déplorer la disparition d’un journaliste, caste sacrée de la ripoublique médiatique. De quoi se mettre définitivement à dos une coterie déjà peu disposée envers la caste sarkozyste.
On se cloître donc comme les américains le font si bien et on prépare un savant repli stratégique au prétexte que les afghans sauront bien mieux négocier avec combattre les rebelles talibans (voir également : http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Afghanistan-Nous-n-irons-plus-dans-les-fonds-de-vallee_a403.htm). Un gouvernement digne de ce nom aurait pourtant maintenu le cap et aurait donné les moyens aux forces armées d’effectuer leur mission.
La guerre n’est plus un jeu quand on envoie des hommes se faire trouer la peau. On ne « joue » pas à la guerre. On la fait. On la gagne ou on la perd, mais on la fait, totalement, absolument, violement. Nos soldats ne sont-ils que des pions que l’on peut déplacer sur un échiquier au gré des changements de stratégies, stratégies elles-mêmes conditionnées par les tendances fluctuantes d’instituts de sondage ? En principe non, mais…
Mais la République a pourtant l’habitude de verser le sang de ses enfants au nom de ses merveilleux idéaux, que ce ne sont pas quelques sonneries aux morts de plus dans la cour des Invalides qui devraient faire reculer les Bienfaiteurs de l’Humanité, n’est-ce pas ? Quel plus beau sacrifice en effet, que se faire tuer pour la démocratie, la liberté, l’égalité et la surtout fraternité entre Tadjiks, Hazaras et autres Baloutches ? Que des tribus rétrogrades n’adhèrent pas complètement à notre façon de concevoir le mode de gouvernement d’un peuple, n’est pas un obstacle en soi. La Démocratie Universelle DOIT être mise en place de gré ou de force chez ces peuples inférieurs qu’il faut éduquer d’urgence. Le grand ancêtre Jules Ferry l’avait déjà proclamé en 1887 : « II faut le dire nettement : oui, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. Comment justifier, sinon, notre présence aux colonies... ».
Prétendre que le retrait des troupes onusiennes d’Afghanistan permettra l’instauration d’un système démocratique universellement envié, est une vaste blague alors que ce pays est miné par la corruption au plus haut niveau de l’état. Le désarmement des bandes armées s’annonce également compliqué dans un pays où le premier hochet d’un minot pachtoun est une Kalachnikov ! Pour autant, la présence des forces armées occidentales aura permis le retour à des traditions ancestrales : port du hidjab, lapidations festives, boum de la production d’opium (+61% entre 2010 et 2011 ; production sur 131 000 ha ; leadership commercial avec 90% de la production mondiale, soit 700 M$). En somme c’est plié.
Pour la première fois, nos Lumières n’éclaireront pas un peuple pourtant si méritant. « Demerden sie sich ! », en somme.
Au-delà de la problématique afghane, la sanction des urnes se rapprochant, ne doit-on pas se demander si les atermoiements de la caste au pouvoir en France ne sont tout simplement pas révélateurs d’une absence de chef à la tête de l’état. La conduite des opérations en Afghanistan semble en être le révélateur. Les gesticulations de l’agité de la rue Saint-Honoré n’y changeront rien. Ici, on brasse du vent.
Tels sont les effets de la démocratie, de la soumission servile à l’Opinion et d’une campagne électorale permanente.
Un seul mot d’ordre pour la France pour conjurer l’anarchie actuelle : un chef, un ROI !
15:29 Publié dans Carpettes d’Or et Panthéon des Pleutres, Chroniques Apocalyptiques | Lien permanent | Commentaires (0)
02/08/2010
Le génie des Carpettes
“La vraie intégration, c’est quand des catholiques appelleront leur enfant Mohamed”.
Martin Hirsch, ancien président d'Emmaüs France, ancien président de l'Agence nouvelle des solidarités actives, ancien Haut-commissaire à la Jeunesse et père de Raphaëlle, Mathilde et Juliette (faut-il dire Rachida, Mouna et Jalila ?)...
... et aujourd'hui, Génie des Carpettes, la dhimmitude enfin incarnée !
15:42 Publié dans Carpettes d’Or et Panthéon des Pleutres | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : hirsch, mohamed
20/06/2009
Carpette d’Or de juin : François Bayrou
Nous inaugurons ici un palmarès destiné à récompenser les capitulards, mollassons, mous du bulbe et autres couards qui hantent notre univers politico-médiatique.
Considérant le niveau de veulerie de la société d’aujourd’hui, ce palmarès devrait sans nul doute s’enrichir très rapidement.
Dégonflés, foireux, froussards, rampants, et autres jean-foutre, cette place est la vôtre ! Postulez ! Sollicitez !
Si votre modestie ou votre timidité vous empêche de vous auto nominer, n’ayez crainte, Soudarded saura le faire pour vous.
Nous décernons unilatéralement, de façon dictatoriale et par un arbitraire complètement assumé, cette première Carpette d’Or à François Bayrou pour son déculottage intégral ; déculottage faisant suite aux réactions des offusqués de service, qui, se drapant dans leur dignité républicaine, condamnèrent la charge du Béarnais contre cette pastèque spongieuse de Con-bandit (sur le plateau d’ « A vous de juger »). Performance remarquable, que de l’entendre battre sa coulpe devant les autorités médiatiques et les bonnes consciences démocratiques, Jean-Pierre Elkabach en tête. Un morceau de couardise de haut niveau.
Rappelons-nous du Bayrou (prononcer « baillerou », merci) qui filait une taloche à un chiard se croyant autorisé à glisser sa main de cleptomane juvénile dans la poche de cet éternel battu. Las, il a disparu à jamais. Sûrement le dernier sursaut, le dernier acte de bravoure et le dernier exploit (le seul ?) de notre Poulidor des suffrages.
Histoire d’en rajouter une couche et pour assurer définitivement son titre, notre primé du mois s’est prestement rendu cette semaine à l’invitation élyséenne à l’issue du scrutin, le suzerain réclamant que l’on rendre l’hommage lige.
Obtenir en effet plus d’une heure d’entretien avec le lutin magyar, tout en se gaussant des nombreux rendez-vous obtenus par Dany la braguette au Palais (venu dans le cadre de ses légitimes fonctions de chef de groupe au parlement européen), est un comportement très positif pour la conquête d’une Carpette d’Or. Sans oublier que notre honteux de service, s’était fendu d’un brûlot cinq semaines avant les élections où il traitait « not’ bon pwésident », entre autres amabilités, d’apprenti dictateur ayant établit "la plus impressionnante confiscation de tous les pouvoirs qui ait été tentée depuis des décennies en cette Ve République ". La raison l’aura heureusement emportée, et la parole du Maître l’aura remis dans le droit chemin.
Ce titre est donc amplement mérité. Une deuxième Carpette d’Or pourrait même suivre assez rapidement, vu le zèle déployé.
Je profite de cette première récompense pour annoncer que l’obtention de trois Carpettes d’Or permet d’entrer définitivement au Panthéon des Pleutres.
Motivant, non ?
Degemer mat, François.
Ps : obtenir la Carpette d’Or n’est en rien incompatible avec le trophée décerné par l’Académie de la Carpette anglaise, distinguant ceux qui promeuvent la domination de l’anglais en France et dans les institutions européennes au détriment de la langue française. Obtenir les deux trophées est un gage certain de servitude envers le politiquement correct et la globalisation ambiante. Et puis, ça fait joli sur la cheminée.
00:38 Publié dans Carpettes d’Or et Panthéon des Pleutres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bayrou