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03/05/2010

Fête nationale de Jeanne d'Arc

Le 9 mai 2010, à pied, en vélib', en Harley Davidson, en trottinette, à cheval (très classe, ça !) ou par téléportation (si le logiciel de Microsoft ne bug pas comme d'hab'...), venez tous...

ICI

ou là...

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30/04/2010

Les députés interdisent le port du voile intégral…en Belgique

art XXXx Les députés interdisent le port du voile intégral en Belgique.jpg

12/03/2010

L’agitation laïcarde, ou comment leur sonner les cloches

L'hystérie laïque actuelle et son double monstrueux, « l'Allahïcité », me font parfois regretter de ne pas être un American Staffordshire Terrier ou un Rottweiller. Alors, à défaut de pouvoir mordre le séant des empêcheurs de vivre en bon catholique de souche, je me contente pour le moment de montrer les dents (que je viens d'ailleurs de faire aiguiser et détartrer par mon dentiste-tortionnaire préféré).

J'm'en va donc vous narrer une petite saynète dont je fus l'acteur, et qui illustre la frénésie actuelle des adorateurs du petit père Combes.

Bon citoyen respectueux des règlements communaux, je m'apprêtais un de ces dimanche soir dernier, à sortir ma poubelle homologuée contenant mes détritus citoyennement triés. Me voilà incontinent abordé par un quidam, quelque peu hirsute malgré le peu de cheveux lui restant sur le crâne - genre Giscard à la pointe de la Torche, si vous voyez le tableau. Vu l'heure tardive et l'enveloppante obscurité, je restais sur mes gardes, on ne sait jamais. Le manque d'éclairage dans les communes de la campagne est propice aux agressions de personnes âgées (ça c'est une fausse piste pour égarer les filous qui tenteraient de trouver qui se cache derrière le génial pseudo de Soudarded !). Après évaluation du risque et inspection rapide du gugusse, je me suis laissé approcher, mais prêt à mettre en œuvre mes capacités de Maître 3 de Krav maga et de Rokudan en Aïkido (formation via Assimil en DVD). 

Omettant les politesses d'usage (très mauvais point ça, je suis très à cheval sur les marques de respect), le bipède me tend crayon et formulaire, exigeant quasiment de moi que j'y appose ma signature. Holà, tout doux ! C'est que j'aime pas les brusqueries, moi. De quoi parle t'on ? On s'accroche aux branches, les gars, c'est du lourd : rien de moins d'une pétition demandant l'arrêt définitif du carillon de notre petite église de village ! Rien que ça ! C'est brutal, quand même pour un dimanche, non ?

Il n'aurait pas dû traîner ses guêtres par ici le bozo, car je lui ai probablement gâché sa soirée. Pauv' type, il aurait pu se renseigner avant de frapper à ma porte (le « pov'con » ayant été déposé par qui-vous-savez, l'usage que l'on peut en faire est quasiment devenu une marque de respect).

Curieux et encore courtois malgré cette sournoise agression, je tentais de comprendre les motivations profondes à l'origine de cette pétition. Notre zigoto de service m'expliqua gravement que le tintement du carillon perturbait les oreilles délicates et crypto-laïques du proche voisinage de l'église. Encore des parigots qui viennent habiter à la campagne et qui n'en supportent pas les « bruits et les odeurs » me dis-je. J'ai alors exprimé un refus poli, alléguant que je ne voyais pas en quoi ce délicat tintement pouvait être perturbant pour des oreilles françaises chargées de 1500 années de culture chrétienne, qui plus est, dans un village incendié à 80% par les hordes républicaines en 1794. Ce serait aussi manquer légèrement de respect aux 400 victimes des colonnes infernales. « Mais c'est juste pour les supprimer la nuit », protesta t'il, surpris par cette première charge. Comme je lui faisais comprendre que c'était une question de principe, le malotru pensa s'en tirer, en barbouillant que vu ma localisation, je ne pouvais évidement pas comprendre les désagréments subis (ce en quoi il avait en partie tord, puisque habitant à 200m à vol d'oiseau de l'église, j'entends parfaitement clochettes et carillons). Mon sang ne fit alors qu'un tour : « Dans ce cas mon bon, pourquoi vouloir me faire signer une pétition qui ne me concerne absolument pas ! ». Premier scud. Ok, c'est très égoïste comme argument, mais il ne fallait pas me déranger avec ce genre d'inepties, surtout à onze heures du soir un dimanche. Pétitionner pour la défense de la Loutre d'Europe (la fameuse Lutra lutra) ou pour la préservation du cacatoès à huppe jaune, passe encore, mais ça...

Notre citoyen ne lâchait pourtant pas l'affaire. L'inconscient.

Le second scud eu la forme d'une affirmation appuyée de la religion de mes pères. Comment en effet signer un tel papier, sans manquer de respect pour les édifices de son culte ? Visiblement, cela n'eu pas plus d'effet sur l'importun. Le gazier insista encore pour me faire signer son papelard, force arguments foireux sur la solidarité communale, la citoyenneté et tout le fourbi à la mode « droitdelhommiste ».

J'envisageais donc sérieusement un écartèlement en bonne et due forme, après séjour prolongé sur le pilori qui décore avantageusement mon jardinet.

L'insistance de l'olibrius me forçait en conséquence à sortir l'artillerie lourde. Sabre au clair ! Troisième et dernier scud (transcription adaptée, j'avais pas prévu le dictaphone):

« Ecoutez mon ami, vous êtes bien gentil, mais croyez-vous que l'on reparlera encore de pétitions, le jour où nos clochers auront été remplacés par des minarets, et que le muezzin local s'égosillera cinq fois par jour, hum ? A mon avis, pour les pétitionnaires de votre genre, ce sera un accès direct au tribunal islamique. Au mieux, quelques coups de fouet, mais une lapidation en règle ne serait pas à exclure, non plus ».

Cette fois, l'énergumène resta figé, les bras ballants, le regard dans le vide. Je ne sais toujours pas aujourd'hui, si j'ai déclenché une quelconque réaction dans son cortex cérébral de neuneu laïcard, par ces propos d'un rétrograde assumé. Notre bougre aura réalisé qu'il était probablement tombé chez un psychopathe « catholico-intégristo-islamophobe », auquel cas son instinct de survie lui commandait de filer dare-dare.

Je l'ai laissé planté là, avec la crainte de le retrouver au même endroit le lendemain, dans un même état de torpeur. Il n'en fut rien. Je subodore donc que notre pétitionnaire aura été me dénoncer à la cellule locale de la Halde ou de la Fédération Nationale de la Libre Pensée. J'attends l'intervention des « Republik Einsatzgruppen » en charge de la liquidation des enquiquineurs de mon genre. Pas d'imper gris à l'horizon pour le moment, ouf. De toute façon, à l'heure des perquisitions, je suis déjà parti au turbin, moi.

En résumé, je trouve la période un rien pénible. Entre les manifestations anti-catho des sectes homos, les attaques quasi quotidiennes contre le Pape et le Vatican, les déprédations des édifices chrétiens en France qui n'émeuvent pas le moins du monde les autorités, l'envie me prend de saisir ma faux, de chausser mes guêtres et de coudre le cœur de Jésus sur ma veste. Rembarre ! 

Ce qui est vraiment effrayant, c'est que notre génération, ou la suivante, sera bien obligée de s'armer comme le firent nos ancêtres, pour défendre notre vraie identité. Car, ce que ces idiots utiles de l'Islam ne comprennent pas, c'est que cette agression permanente contre le socle naturel de notre société, fait le lit d'un Islam trop heureux d'avoir un allié aussi imbécile.

Perspective jubilatoire, les tenants de la libre pensée seront probablement les premiers à passer sous la lame des cimeterres.

27/03/2009

Les Saintes Baffes

Message pacifique à destination des « robespierristes gays » d’Act Up (*) et autres génocidaires communistes qui ont souillé le parvis de Notre-dame de Paris :

 

http://www.dailymotion.com/video/x8rbfb_les-catholiques-defendent-leur-pape_news

 

Foi de Soudarded, un catho en 2009 est en principe doux comme une brebis, mais faut quand même pas croire qu’il se laissera tondre indéfiniment la laine sur le dos. Je me permets de rappeler que les jeux du cirque où les Chrétiens se faisaient bouffer par les bêtes féroces, sont révolus.

 

La distribution de Saintes Baffes à ceux qui nous empêchent d’exercer notre culte, ou qui insultent nos pasteurs, nous vaudra peut-être quelque jours de purgatoire, mais si c’est pour la Cause…

 

 

« Er chouanned soudarded Doué, Er oér mêrùel aveit ou fé. »

 

 

Art 19 - Les Saintes Baffes.jpg

 

(*) http://survivreausida.net/a8446-act-up-paris-un-groupuscule-de-robespierris.html

19/03/2009

Le Héros face aux barbares

Le principal du collège Pablo-Picasso à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise) a été agressé jeudi par plusieurs jeunes et hospitalisé, a-t-on appris de source policière. Deux mineurs ont été interpellés vers 13h15, peu après la bagarre, et placés en garde à vue au commissariat de la ville.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la bagarre a eu lieu en fin de matinée entre deux collégiens. A cette occasion, un mineur âgé de 15 ans a été placé en garde à vue dans le cadre d'une procédure pour "participation à un attroupement armé" et "port d'arme de 6e catégorie".

Peu après, une rixe a opposé une vingtaine de jeunes aux abords du collège. Vers 12h30, des collégiens et des personnes extérieures à l'établissement se sont regroupées, armées de marteau et de bâtons, et ont pris à partie le collégien qui avait été impliqué dans la rixe du matin.

Le principal, qui tentait de s'interposer, a alors essuyé des coups de pied, de poing et de marteau. Il a été hospitalisé pour des blessures à la main et aux épaules. C'est à l'issue de cette agression que deux autres mineurs ont été interpellés.

Patrick Cassou, le bras en écharpe, a expliqué à la presse qu'il se trouvait dans la cour avec l'élève visé. "J'ai essayé de maîtriser et de raisonner les personnes qui arrivaient. J'en ai raisonné une, maîtrisé une autre, j'en ai arrêté mais il est bien évident que j'ai vu que j'étais débordé par ce groupe qui arrivait, qui était très nombreux. Quand j'ai vu qu'ils avaient réussi à cerner l'élève" et "qu'il y avait un risque certain, même vital" pour lui, "j'ai fendu le groupe, j'ai plaqué l'élève au sol", faisant ainsi rempart de son corps.

 

 

A l’heure de l’individualisme et du repli sur soi, on trouve encore des hommes capables de bravoure et encore assez intrépides pour oser se dresser contre les nouveaux barbares, contre ces hordes à capuches qui rodent dans les murs de la Cité.

 

Je ne connais pas cet homme, mais ce que je viens de lire sur lui me suffit pour l’élever au rang de Héros moderne. Face au nombre, face aux barbares, un homme s’est dressé, et a lutté pour sauver un enfant dont il avait la responsabilité.

 

Mesure t’on vraiment la portée de ce geste ?

 

Dans une société où fuir ses responsabilités est une vertu première, il se trouve un homme assumant totalement ses devoirs et les obligations de sa charge. Ici, cette responsabilité va au-delà de la simple fonction administrative d’un principal de collège, ballotté entre gestion des grèves de professeurs et recouvrement du paiement des tickets de cantine.

Il n’est nullement écrit dans la liste des attributions d’un principal, que la vie d’un élève mérite que l’on se porte à son secours, au risque de mettre sa propre vie en danger. C’est pourtant ce que cet homme a fait. Pour lui, n’aura compté que la solidarité humaine, et dans ce cas précis, une sorte de responsabilité quasi paternelle, celle d’un aîné portant secours à un enfant. Un homme seul devant la meute.

 

Il est acquis que dans les périodes sombres, émergent toujours des individus qui montrent la voie à suivre. Puisse ce geste être suivi par d’autres.

 

Est-ce un héros pour autant ?

Ce beau mot de héros est trop souvent employé à tord et à travers, galvaudé, associé a des individus fats et sans consistance. Le vainqueur d’une Star Académie n’est-il pas un héros pour les masses décérébrées ? Ce qui s’est passé aujourd’hui le remet à sa juste place, en haut de l’échelle des valeurs humaines. Il symbolise le courage d’un individu qui transcende un peuple paralysé et tremblant, face aux hordes qui tentent d’imposer leurs lois. Le héros porte en lui les vertus de notre communauté. Peut-être est-il encore temps de s’en rappeler certaines: don de soi, solidarité, sens du sacrifice, fidélité et assistance à sa communauté.

 

Monsieur Cassou, je m’incline respectueusement devant votre geste. Je crains malheureusement que votre avenir dans ce département soit fortement compromis. Les barbares qui hantent nos cités chercheront sans doute à se venger. Pouvons nous espérer que votre ministère de tutelle vous attribue un secteur moins périlleux ?

 

En attendant, je me demande si ce dernier ne devrait pas songer à vous équiper en tonfa, Taser et autres Riot gun. Et les professeurs avec.

 

Art 18 - Le Héros contre les barbares__Persée.jpg

17/03/2009

Si Vis Pacem, Parabellum

Weatherford, États-Unis - Un bulldozer déclaré volé il y a 10 ans a été retrouvé sous un fairway dans un terrain de golf.

L'inspecteur en charge de l'affaire raconte qu'un ancien ouvrier du terrain de Golf Canyon West a contacté récemment les autorités après avoir remarqué une partie du bulldozer sortant de terre alors qu'il arrosait le sol de fertilisant. Les bulldozers sont souvent utilisés lors de la construction de terrains de golf. Quand le chantier a commencé au Canyon West Golf Course en 1996, l'engin avait été déclaré volé et jamais retrouvé.

 

Personnellement, j’ai précautionneusement mis sous quelques cm de terre ma collection d’AMX30, habilement subtilisés lors de mon passage dans un régiment de dragons (visiblement, ça n’a pas interpellé la Grande Muette, cette disparition. Consternant, non ?).

 

Sait-on jamais, ce genre d’outils pourrait servir, le soir du « Grand Soir » (n’étant pas du matin, tant qu’à faire, l’insurrection, je préfèrerais que ce soit après le journal de 20 heures et la météo).

 

En effet, m’est d’avis, que vu la tournure des évènements, on se dirige vers un souk monumental dans peu de temps, et qu’il va falloir défourailler vigoureusement.

Not’ pays frémit déjà sous un vent de révolte : pouvoir d’achat en berne, licenciements par des multi nationales qui se foutent des travailleurs français comme de leur premier million, défaite du PSG. Certains ont visiblement des envies de potence pour ces patrons indélicats. On ne peut pas vraiment les blâmer, mais je n’ai pas trop envie de me retrouver dans une société trotsko-bolchévique. Anti-communiste (très) primaire depuis mes vingt ans, je ne goûterais que modérément la clandestinité, si les émules du « facteur-gendre idéal » s’avisaient de vouloir prendre le pouvoir. Nous ne sommes pas à l’abri d’une telle hypothèse, chers petits bourgeois. Notre pays compte un grand nombre de frustrés de la Révolution, sauce « Che » ou Bronstein (Trotsky pour les intimes).

Qui nous dit aussi, que le Nabo-Léon de l’Elysée, emporté dans l’élan de l’ouverture à gauche, ne soit pas un jour disposé à donner des ministères à ces pourfendeurs de PDG. Politique fiction délirante ? Peut-être bien. Mais on a déjà vu des alliances plus surprenantes : le programme commun de la gauche (un coco stalinien, un pharmacien et un médaillé de la Francisque !), la cohabitation Mitterrand-Chirac, Pif le chien et Hercule. Soyons donc prudent.

 

Les nuages s’amoncellent sur nous, et la chaleur devient moite et pesante. Comme un soir d’été avant l’orage.

 

Alors, si la France doit sombrer dans une anarchie sociale et politique, autant s’équiper correctement, non ?

 

On en reparle bientôt.

Keep in touch, guys

 

 

Ps : pour les AMX30, si vous avez le permis poids lourd, ça m’intéresse ! Je ne peux pas les conduire tous, voyons !

 

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