21/02/2013
NPAI
Nous relayons l’alerte suivante, suite aux retours à l’expéditeur des nombreux courriers adressés à la Présidence de la République (voir ici dans le Salon Beige).
La mention NPAI (N’habite Pas à l’Adresse Indiquée) étant mentionnée par les préposés de la Poste, les plus folles rumeurs circulent déjà.
Le Président serait-il aux mains de groupuscules islamistes au Mali ou, pire encore, de la faction activiste des Femen ?
L’activisme frénétique de Ségolène Royal ces derniers temps pour obtenir une fonction officielle, a-t-elle un rapport avec cette disparition éventuelle (d’ailleurs, ne nous trompons pas, l’accès au poste de vice-présidente de la BPI n’est qu’un leurre destiné à masquer le véritable objectif de la « madone du Poitou » : le perchoir de l’assemblée nationale ! Avant de viser plus haut ?) ?
Bref, une grave question se pose à l’heure où la France est confrontée à de grands défis économique, alors qu’on ne sait plus reconnaitre un steak de bœuf d’un steak de cheval, que se produisent en Afrique des enlèvements de ressortissants français et que des insultes envers les syndicats sont proférées par un sinistre personnage, M. Taylor, patron de Titan :
Qui gouverne ?
PS : merci également à ceux qui auraient des nouvelles du Premier ministre, de se manifester pour rassurer nos concitoyens. Le silence persistant de Jean-Marc Ayrault est tout aussi inquiétant.
11:51 Publié dans Chroniques Apocalyptiques | Lien permanent | Commentaires (0)
18/02/2013
Nous sommes tous des « Serge Charnay » ! Soutien aux papas !
Un père se retranche dans une grue du port de Nantes pour protester de sa privation de l’autorité parentale.
Au-delà du cas particulier de Serge Charnay, qui, aux dire de la partie adverse est un monstre ayant deux fois soustrait et caché son enfant, prétendument à cause d’une inégalité de traitement dans ses droits de visite, son action met en lumière le peu de cas que l’on accorde aux pères dans les cas de divorce.
Ces actions extrêmes enclenchées par des pères privés de droits de visite ou du simple contact avec leurs enfants est dramatique. Pour les pères en questions, mais également pour les enfants concernés. Que dans certains cas il faille écarter des enfants un père violent, alcoolique ou pédophile, cela semble tombe sous le sens, mais combien de pères auront à subir des accusations dénuées de fondement de la part de mères manipulatrices.
Au risque de s’attaquer au politiquement correct, qui donne aux mères le beau rôle dans la relation parents/enfants ("seules ces dernières savent élever les enfants, l’homme n’est qu’un géniteur"), il convient de savoir que celles-ci savent utiliser bien des armes pour soustraire de leur vie et de la vie de leur enfant, un homme qu’elles auront pourtant aimé : violences conjugales et inceste sont les guillotines sociales qui excluront définitivement le père. Généralement, elles utilisent la première arme, mais en cas d’échec, la seconde méthode a l’avantage d’être radicale. Comme généralement les enfants prétendument victimes ne sont pas suffisamment matures pour infirmer les terribles accusations, le père devient de facto un tortionnaire qu’il faut bannir, voire mieux encore, le détruire.
Oui, détruire, car ce père aura beau se défendre comme un beau diable, l’ombre du soupçon pèsera toujours sur lui. Sauf conditions particulières (faute avérée et reconnue de la mère, par exemple), un père dans cette situation-là, verra sa vie brisée. Il faudra beaucoup de ténacité, de chance et compter sur la Providence pour s’en relever indemne.
Et quand on sait que la grande majorité des Juges des Affaires Familiales sont des femmes, on peut également et légitimement douter de l’impartialité de l’Institution.
Il ne faut pas s’arrêter au cas particulier de Charnay pour redonner de la visibilité à ce dossier, car nous n’en connaissons rien, la parole de la partie adverse ne valant pas plus que la sienne. Mais des centaines de pères privés injustement de leurs enfants sont dans les plus grandes souffrances, certains ne reverront jamais leurs petits, escamotés par la mère et manipulés pendant l’enfance. Adolescent ou adultes, ils ne voudront plus jamais revoir ce père si complaisamment dénigré par une mère aveuglée par la haine.
Paradoxal néanmoins, dans la mesure où on demandait depuis 20 ans à ces hommes de devenir des mamans en second, sachant langer, nourrir et donner le bain à leur progéniture. Une de mes relations, avocate de la famille, conseillait maintenant aux jeunes pères de ne surtout plus rester seuls avec des enfants en bas âge, sous peine de risquer de gros ennuis. Le syndrome de l’ascenseur aux « States », qui interdit de fait à un homme d’y monter si une femme y est déjà présente.
Soutenir le combat de Serge Charnay, encore une fois au-delà de son propre cas, c’est soutenir l’équilibre si fragile de nos enfants qui ont besoin d’un père et d’une mère. Voilà qui fait aussi résonnance aux tous derniers combats contre le mariage pour tous.
Nous sommes tous des « Serge Charnay » ! Soutien aux papas !
A toutes fins utile, le site de SOS PAPAS : http://www.sospapa.net/
18:08 Publié dans Y a pas que la politique dans la vie, non mais ! | Lien permanent | Commentaires (1)
07/02/2013
Hier le Champ de Mars, demain l’Elysée !
Il y a près d’un mois déjà ce dimanche 13 janvier 2013, journée digne des HLPSDNH de sinistre mémoire, une troupe de
« misérables factieux de la secte réactionnaire-bourgeoise, n’hésita pas à défier le gouvernement démocratique et populaire de West-Europa. Ce ramassis de séides de la réaction nationale-négationniste osa profaner le sol de notre capitale Delanoë-City pour dévaster les quartiers réservés à l’élite progressiste et à nos dirigeants bien-aimés ».
Enfin, crime des crimes,
« ces séditieux foulèrent de leurs pieds d’agitateurs malfaisants, la pelouse sacrée du Champ des Martyres LGBT, où se dresse illuminée de mille feux la Tour Taubira » !
C’est à peu de choses près la vision qu’auront eu les sectaires au pouvoir, de ces français manifestant pacifiquement une légitime inquiétude : se voir imposer une loi dénaturant le mariage traditionnel.
Le PS et ses compères ont en effet mis en ordre de marche une machine de guerre et de destruction du socle familial qui, associée à la GPA et autres PMA, mènera à terme à la marchandisation des enfants. Et ce n’est pas la dernière initiative de la garde des Sceaux autorisant la délivrance d'un certificat de nationalité française aux enfants nés à l'étranger de mère porteuse, qui va nous rassurer quant à la bonne foi de ce gouvernement.
« Portant sur le front une mâle assurance, nous partîmes 500, mais par un prompt renfort… »
Nous vîmes ce dimanche-là, la France profonde, le pays réel si cher Maurras, la France qui ne descend jamais dans la rue, exprimer des seules armes qui lui restent, puisqu’on lui a confisqué tout autre moyen d’expression, son opposition à cette criminelle loi dite du « mariage pour tous ». Nos pieds et nos slogans furent nos bulletins de vote (cela dit, voir autant de français dans la rue après huit mois de présidence, permet d’apprécier la performance des socialos. Chapeau bas !).
Quand à la polémique qui fit suite sur le nombre de participants à cette marche, elle aura vu les sots, la flicaille régimiste, les journalistes à la botte du pouvoir et les progressistes nuisibles, ne pas reconnaitre l’ampleur de la manifestation (800 000 au bas mot, selon le général Dary, conseiller du « comité de pilotage » de la manif). Les sites d’information honnêtes ont facilement démontré les tentatives de trucage des services officiels et des relais du pouvoir.
Il n’y a pas si longtemps encore, un déploiement de telle ampleur aurait « interpellé » n’importe quel gouvernement un tant soit peu responsable. Oh, rassurez-vous, pas pour reconnaitre de quelconques erreurs, mais uniquement pour préserver une certaine tranquillité sociale et ne pas trop compromettre les élections suivantes. Assurer un repli stratégique sur quelques sujets devenus brusquement « à problème », ne fait en principe pas tomber un gouvernement ; un ministre, tout au plus.
Aujourd’hui la donne a changé.
La populace contre l’Elite progressiste
Les socialistes, les progressistes et toute l’avant-garde de l’humanité éclairée, sont maintenant au pouvoir. Le droit est donc pour eux. Enfin surtout le droit d’avilir le peuple, ce conglomérat de crétins visiblement butés ayant trahi ses leaders naturels, en votant notamment pour cette peste « Bleue Marine » (couleur qui reste plus seyante tout de même que la peste brune de jadis). Ces abrutis en bleu de chauffe sont vraiment trop bas de plafond, pour n’avoir comme minable horizon que l’épaisseur de leur porte-monnaie et n’avoir pour soucis, que le remplissage du bol de soupe après le 15 du mois. Et trouver un travail pour les moins doués d’entre eux.
Non, les enjeux essentiels, cruciaux et primordiaux de ce 21ème siècle sont ailleurs, comme la socialo-kommandantur s’efforce de le démontrer, vainement visiblement : supprimer les voies sur berges à Paris, remplacer le terme de « maternelle » pour ne pas déstabiliser nos chères petites têtes (de moins en moins) blondes, ouvrir des supermarchés de la dope pour se piquer en toute légalité sous les yeux consternés de la maréchaussée, canoniser cette pseudo-naïve mais vraie pénible Florence Cassez et donc, objet de toutes les attentions du moment, permettre aux fofolles de convoler enfin en justes noces.
Tout bien réfléchi, les travailleurs ne méritent vraiment pas l’élite qui est aux commandes et qui elle, sait ce qui est bon pour le vulgum pecus. Le revers de la démocratie, sans doute…
Ce foutu peuple, manipulé par des religieux obscurantistes et des lepeno-sarkosistes, s’est une fois de plus fourvoyé dans l’ignorance des vrais enjeux de société. Il aura démontré son ignorance crasse du fléau de la discrimination homo et fait montre d’un égoïsme petit-bourgeois envers une population si cultivée, aux goûts si sûrs, mais ostracisée, proscrite, bannie et vilainement ghettoïsée dans les profondeurs sordides des 3ème et 4ème arrondissements de la capitale. Heureusement, le train du progrès sociétal est maintenant en marche et rien ne l’arrêtera, surtout pas une majorité des français rétrogrades !
La démocratie, c’est « cause toujours ! »
Eussions-nous été 2, 5 voire 10 millions de marcheurs, la si peu avenante tétèche1 Taubira serait restée inflexible, droite comme une canne à sucre sous son katoury2 créole !
Pourquoi donc demander l’avis du peuple sur des sujets que seule l’élite auto-proclamée du Marais parisien est légitime à traiter ? Certes, un candidat socialiste devenu brusquement autiste depuis son arrivée à l’Elysée, s’était engagé à consulter la Nation sur des sujets majeurs de société, mais ça, c’était avant, du temps des promesses des banquets de campagne.
Un référendum, exigiez-vous ? Quelle bonne blague ! MDR ! « Hors de question » nous aura martelé l’acariâtre mégère de la place Vendôme. « PAS CONS-TI-TU-TIO-NNEL » 3, parait-il. En somme, mettre un bulletin dans une urne n’est pas démocratique. Parfait, j’en prends bonne note.
Eh oui,
« bande de mécréants rétrogrades et ignorants, on a des députés de gauche pour voter les lois qui conviennent au populo, cela suffit bien. Toi y’en a comprendre ? Ta mauvaise foi fascistoïde devrait t’étouffer vu que le débat a déjà eu lieu il y a 5 mois de cela, abruti de francaoui hétéro ».
Fermez le ban et les urnes avec !
Quant au réac-catho version Cyrillus, forcément manipulé par les corbeaux noirs de l’épiscopat, eux-mêmes téléguidés par la Place Saint-Pierre de Rome, qui se poserait ingénument la question de savoir où ont bien pu se dérouler les fameux débats évoqués par la Gôche, il n’aura qu’à écrire au ministre en question pour de plus amples renseignements. Se voir confisquer derechef sa carte d’électeur pour outrage à la Démocratie Populaire de Métisse-Land, est un risque qu’il faudra assumer, mais après-tout, pour ce à quoi elle sert… (La bonne nouvelle, c’est que depuis le 13 janvier, ce pays compte donc au bas mot 1 000 000 d’antidémocrates. Bonne nouvelle pour le Centre Royaliste d’Action Française. Envoyez les cotises !).
Un peuple désespéré aujourd’hui, en colère demain ?
Il n’est de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Et quand cette surdité gouvernementale s’accompagne du plus parfait terrorisme intellectuel sauce bolchévique, une protestation gentillette comme celle du 13 janvier restera sans effet et amusera follement des bobos invertis sûrs de leur victoire. Le Marais s’en amuse déjà.
Alors, un coup d’épée dans l’eau le crapahut du 13 janvier, alors que l’organisation d’une nouvelle marche de protestation semble pourtant se dessiner ? Et bien soit, marchons donc de nouveau. Mais enfin, pour atteindre quel objectif ? Pour un autre 13 janvier familial, propret, œcuménique et festif (et si possible moins froid et humide, merci) ?
Evidemment, trottiner en famille restera toujours utile pour nos silhouettes malmenées par les derniers réveillons et autres chandeleurs. Mais la multiplication des pieds sur le pavé parisien ne changera probablement pas la donne, sauf à courroucer de nouveau cette folledingue de Maire de Paris qui ne manquera pas d’envoyer une nouvelle facture pour dégradation de pelouse (porter atteinte aux pelouses, voilà qui doit bien traumatiser nos « amies » lesbiennes, tiens).
C’est pourquoi, à toi Ministresse de l’Injustice, à toi et à ton gouvernement de discorde, nous le peuple de France, nous te conseillons de porter une très vive attention à ce qui s’est passé ce 13 janvier. Votre hautaine et méprisante attitude envers les citoyens, ces autochtones que vous méprisez depuis vos lambris et vos dorures pourtant si peu populaires, heurte nos consciences et blessent nos cœurs.
Le peuple était dans la rue et vous, gouvernement de schizophrènes, vous ne vous en n’êtes pas rendu compte, préférant écouter la minorité d’inverti qui vous sert de cour. Môssieur le Président aura ainsi préféré se faire tirer le portrait avec deux représentants LGBT pleurnichards, sodomites au teint blafard et au regard de vipères sadiques, sinistres représentants d’une minorité de minorité. Mais notre Flamby-le-boutefeux lui, refusera d’écouter « son » peuple qui crie aujourd’hui son désespoir et son incompréhension. Tout juste condescendra-t-il à recevoir en catimini la madone Barjo. Que d’égards…
Hier le Champ de Mars, demain l’Elysée !
La gauche n’aime pas le peuple français, elle s’en sert. Terra Nova lui a d’ailleurs déjà expliqué comment s’en passer. Quant à la république, elle a souvent montré qu’elle n’aimait pas les français. Hier, elle tirait sur la foule (vendéens et chouans, canuts de Lyon, fusillés de Fourmies et de Draveil, anciens combattants et nationaux du 6 février, pieds noirs et harkis…), aujourd’hui elle se contente de l’ignorer et de la mépriser. Combien de temps encore se contentera-t-elle de cette passivité, avant de faire sortir ses gardes-mobiles ?
Le peuple de France a bien des défauts, mais il pourrait ne pas oublier votre morgue de corrupteurs de civilisation. Un roi et une reine, martyrs de 1793, n’avaient pas cette tare-là, surtout pas le millième de la perversité des mandarins actuels et pourtant, Samson fit tomber leur tête au pied de l’échafaud.
D’une façon ou d’une autre, le peuple de France vous fera payer votre cécité, votre entêtement criminel et votre dédain des vrais français et de leur civilisation.
Pour se faire entendre, il va donc falloir passer au stade supérieur et ne pas se contenter d’user nos croquenots sur le pavé dans l’espoir d’un revirement intellectuel des fripouilles au pouvoir, ou dans l’espoir qu’une hypothétique alternance UMPesque fasse machine arrière (ce qui semble assez improbable au vu du discours actuel de ce traitre de Jacob).
La voie du salut passera d’abord par la transformation des bisounours de paroisse en vrais insurgés et d’électeurs passifs en militants actifs de la cause nationale.
Et de faire de ces républicains, des royalistes.
Mais avant de décréter le premier jour de l’insurrection nationale qui chassera de ses palais l’élite auto-proclamée de la branchitude invertie, j’invite le Maréchal Flamby sauveur du Mali, probablement déjà Grand-Maître l'Ordre de la Médaille de l'Etoile d'Argent du Mérite National Malien, à s’occuper enfin des millions de chômeurs qui hantent le Pôle emploi, aux milliers d’artisans, commerçants et paysans étranglés par le fisc. Eux non plus ne vont pas tarder à descendre dans la rue, histoire de rappeler à la gauche ce qu’est le peuple, le vrai, le travailleur, le besogneux, celui qui par ses impôts, vous permet de dilapider les richesses de la France.
Que la gauche persévère dans cette fuite en avant, préférant donner satisfaction aux promoteurs des idées les plus folles et s’entêtant à répandre son idéologie destructrice (mariage pour tous, droit de vote des immigrés, police de la pensée et novlangue à foison), sans vouloir s’occuper des vrais problèmes de notre pays, elle trouvera de plus en plus de français dans la rue pour s’opposer à sa dictature molle.
Quant à dame Taubira, condescendante « Garde des Sots », qu’elle médite donc ce dicton de sa Guyane natale :
« Jwé bien ké makak mé pa pilé so latjo »
« Jouez tant que vous voulez avec le singe, mais ne lui marchez pas sur la queue »
Nantes, article écrit le jour anniversaire du 6 février 1934
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tétèche : riche paysanne guyanaise
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katoury : chapeau de Guyane en arouman, tressé en diagonale
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Faux, la possibilité de référendum est directement lié au sujet en question : ce qui se rapporte au social peur faire l’objet d’une consultation, il suffirait de considérer que la déstructuration du mariage répond à cet impératif « social ». C’est une interprétation à faire, donc un choix politique à assumer.
16:25 Publié dans Demain l'insurrection | Lien permanent | Commentaires (0)