07/07/2011
JO 2018: Echec des traîtres français à Pyeongchang
C’est à la stupeur générale que la ville de Pyeongchang vient d’être désignée comme pays organisateur des JO d’hiver de 2018. Ce tragique résultat pour le Comité Olympique Français a déjà d’importantes répercutions sur ce comité et sur les prochains dossiers que devra traiter cette équipe (candidatures d’Ermenonville-Mer-de-sable pour les JO d’hiver de 2174 et de Grigny-les-mosquées pour les JO d’été de 2256).
Une cellule d’assistance psychologique est d’ores et déjà en place pour traiter les comportements somme toute assez irrationnels du Comité français constatés lors de la proclamation des résultats (ainsi, les applaudissements frénétiques des français apprenant leur déshonorante défaite !). Comportements sans doute provoqués par cette vision, il est vrai assez insoutenable, d’un Jacques Rogge brandissant le bristol du résultat du vote, au comité français.
Devant cette incapacité à apprendre et corriger les erreurs des précédents échecs (Paris 2012), une refonte générale de l’équipe française est mise sur les rails.
Première action et pas la moins spectaculaire, le remplacement complet et immédiat du comité par un staff beaucoup plus percutant, homogène, disposant d’une réelle force de persuasion et dont on peut voir la composition ci-dessous.
Le principal défaut de la stratégie française résidant dans l’absence de lobbying auprès des décideurs du CIO, alors que l’aspect technique de notre candidature semblait tenir la route, il se dit qu’une « pointure » en stratégie de communication serait sur le point d’être embauchée. Le nom de ce spécialiste sera dévoilé dès qu’il aura finalisé un dossier actuellement encore en souffrance à New-York, où il séjourne encore (à TriBeCa, un quartier chic de Manhattan, selon nos sources). Ce spécialiste serait une arme de premier choix, notamment auprès des décideurs féminins du CIO, de plus en plus nombreux dans les instances olympiques. Une récente mission au sein d’un organisme de renom international, mission ayant eu un impact mondial, aura définitivement convaincu le Comité Français de faire appel à ses sévices services. Quitte à dépenser 29 millions d’euros, autant s’assurer de la compétence des meilleurs patriotes.
Pour l’heure, l’ancien staff français est prié dès son retour d’Afrique du Sud, de se faire oublier au plus vite et de retourner vaquer à ses occupations habituelles. Certains, comme Charles Beigbeder seront d’office placé dans un établissement spécialisé. Les différents commentaires faits sur le compte Twitter du frère de l’écrivain cocaïnomane seraient éloquents et démontreraient que le comité français ne disposait peut-être pas de son entier discernement (« Excellente présentation d’Annecy 2018…beaucoup d’émotion…je regarde la présentation des Coréens, je pense qu’on peut gagner »).
Il se dit aussi que la Présidence de la République serait assez courroucée par le peu de soutient de la population de Haute-Savoie et de la ville d’Annecy, tout particulièrement (« On a déjà trop de monde à Annecy. Le week-end, on ne peut pas marcher sur la promenade ! »).
Des mesures de rétorsion seraient ainsi envisagées pour effacer de notre mémoire nationale ce funeste épisode. Seraient à l’étude, le pompage intégral du lac d’Annecy, le changement de nom de la cité (« Boutae », son ancien nom serait maintenant privilégié) ou le remplacement du blason de la ville (actuellement « De gueules à une truite d'argent posée en bande », remplacé par un motif à base de bonnet d’âne). L’humiliation nationale que représente cet échec doit être absolument lavée, et les traîtres à la Patrie doivent payer. Après tout, l’Assemblée Nationale en 1793, n’a-t-elle pas changé le nom du département de Vendée en « Vengé », afin de punir des rebelles, suppôts de la réaction, de la noblesse et de l’obscurantisme ? La France pourrait ainsi repeupler ce département félon, par réfugiés venus de Lampedusa, une fois que les nouvelles colonnes infernales auront liquidé tous les « brigands » de la région (proposition du Comité de Salut Public présidé par le triumvirat Eva Joly, Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon). Les brigands de Savoie doivent être exterminés avant la fin d'octobre, le salut de la patrie l'exige. L'impatience du peuple français le commande. Son courage doit l'accomplir. La reconnaissance nationale attend à cette époque tous ceux dont la valeur et le patriotisme auront affermi sans retour la liberté et la République.
Autre piste envisagée, la revente de la Savoie au profit du royaume de Piémont-Sardaigne pourra être envisagé, si l’Italie consentait enfin à redevenir une monarchie (en fait, dès que les tests ADN auront permis de connaître le dauphin le plus présentable de Berlusconi). La France pourrait décréter unilatéralement l’indépendance de la Savoie et placerait à sa tête un ancien chef d’état encore au chômage ou sur le point de l’être (Ben Ali, Moubarak, Fillon).
On le voit, ce nouvel échec d’une candidature française à une compétition olympique est un traumatisme sans équivalent pour la République. Le glaive de la Loi doit s’abattre sur ceux qui auront saboté ce projet.
« La République doit se montrer inflexible ! Il faut purger le Comité et punir les traitres qui ont œuvré au sabotage de la candidature française. A bas les traitres ! Vive la République ! » (Déclaration du représentant en mission, Vladimir Ilitch Turreau).
23:49 Publié dans Irrespectueusement vôtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cio, annecy, jo 2018
22/04/2010
Décès de l'ancien président du Comité international olympique (CIO)
13:20 Publié dans Irrespectueusement vôtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cio, samaranch