Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/06/2011

Promotion de la diversité : idéologie, déni de réalité et instrument de propagande

A BA LA DISKRIMINACION !

De façon assez prévisible, l’idéologie encourageant les idées perverses d’égalitarisme et de discrimination positive, vient de se fracasser sur les réalités de ce bas monde.

Le monstre vient de sombrer aussi sûrement qu’un Titanic une certaine nuit d’avril 1912.

Deux nouvelles viennent en effet de démontrer que cette construction idéologique et partisane, sensée lutter contre de prétendus exploiteurs discriminants, racistes et xénophobes, n’a aucun des effets souhaités, mais apparaît surtout comme l’instrument visant à culpabiliser des français xénophobes, forcément xénophobes.

… (à suivre dans « Lire la suite » ci-dessous)

...


Mohamed chez les Thénardier

Un complot ourdi par d’odieux exploiteurs empêcherait parait-il, les pauvres djeuns issus de nos tristes banlieues d’accéder aux plus hautes fonctions de la République. Il devenait donc plus qu’urgent de donner un coup de pouce, à ces espoirs déçus de la France du melting-pot et de la diversité.

Les comploteurs responsables de cette cabale ? Le MEDEF, le gouvernement, les DRH, les patrons-artisans, le pôle-emploi, les keufs, les feujs, les roumis, … sans oublier la Fédération Française de Foutebôl et ses affreux quotas… boooouuuuuuh !

Le commerce triangulaire n’est apparemment plus très loin.

A écouter nos modernes Etienne Lantier* et Cosette du bled, il paraitrait que les perspectives d’avenir des cadets de banlieue, doivent se limiter à des activités de garnissage de kebabs ou de hamburgers, en plus obligés de porter de seyants uniformes de fast-food dans une ZUP grisâtre de Grigny-les-mosquées. Pourtant, L’ENA ou Science Po, c’est autrement plus « de la balle » qu’un CAP de « Gestion des déchets et propreté urbaine », non ?

C’est absolument tragique.

Les bons apôtres de la Sainte Diversité se mobilisèrent donc, pour qu’on favorisa enfin l’accès aux grandes écoles de la République à ces futurs entrepreneurs à capuche. La République repentante ne doit-elle pas être reconnaissante envers les fils et filles de fellagha ?

Bref, pour booster nos djeuns et leur permettre d’appartenir enfin à l’élite de la Nation, tout en mettant par la même occasion un peu de couleur dans un univers bien trop monochrome, on décida de discriminer positivement afin de permettre à Rachid et Djamila de côtoyer Charles-Edouard et Marie-Amélie (qui n’en demandaient pas tant, mais là n’est pas le sujet…). On allait voir ce qu’on allait voir, et prouver à ces « faces de craie » que la banlieue renfermait au moins autant de talents que Passy ou Neuilly.

Bon, ben voilà. On a vu.

Première désillusion pour Fatoumata et Mourad

Pour ce qui est du CV anonyme préconisé par Claude Bébéar (rapport intitulé « Minorités visibles : Relever le défi de l’accès à l’emploi et de l’intégration dans l’entreprise - Des entreprises aux couleurs de la France »), un rapport du CRES, démontre que l'anonymisation du CV serait particulièrement défavorable aux personnes issues de l'immigration.

Ah ben, flute alors !

L’analyse montrerait que les recruteurs seraient en effet assez pervers et sournois, pour déceler les trous et les dissimulations dans les parcours de nos anonymes impétrants. Faute de lisibilité sur leur carrière et peut-être aussi à cause d’une syntaxe originale et d’une grammaire où le pittoresque se dispute à l’approximatif, CV et lettres de motivation se retrouvent alors en position verticale dans le classeur créé à cet effet.

De plus en plus tragique.

[Ndr : de vous à moi, qui aurait envie de convoquer un candidat n’ayant pas le courage de montrer sa bouille de premier communiant son aimable faciès, de décliner son identité et de préciser son lieu de résidence ? La dissimulation n’est pas une qualité très appréciée dans le monde de l’entreprise (sauf à la DGSE, il va de soi…)]

Résultat de tout ce barnum idéologique, les femmes et les séniors ne voient pas leurs chances augmenter sensiblement (effet de bord) et les demandeurs d'emploi issus de l'immigration ou résidant en Zone Urbaine Sensible, sont priés de bien vouloir continuer à dealer le matos dans leur teuci.

Tout ça pour ça…

Heureusement, la Halde,  bonne fille toujours active malgré un récent avis de décès, vient de demander que la discrimination à l'adresse dont seraient victimes les habitants de banlieue soit inscrite dans la loi. Et toc !

Notre digne héritière de la Tcheka et de la Stasi réunies, me semble pourtant un peu timorée sur ce coup-là. Pourquoi ne pas plutôt faire retirer du CV les vraies données discriminantes que sont les diplômes obtenus et les expériences professionnelles passées ? Ne faire subsister que les centres d’intérêts (rap, tags, dealer le matos dans le hall) ainsi que les loisirs (rap, tags, dealer le matos dans le hall), devrait bien suffire aux recruteurs pour sélectionner leurs futurs collaborateurs venus de la dalle de Grigny, non ?

Considérant cet acharnement à vouloir rejeter une frange de la population pourtant si désireuse de se vautrer elle aussi dans les bureaux d’une grande administration, d’un Conseil Général, voire d’un ministère pour les plus ambitieux, Soudarded propose le remplacement de ces formulaires d’un autre âge, par un QCM sur Smartphone (questionnaire à choix multiple), car « mal écrir le francé sra 1 blèmepro, man ».

Deuxième désillusion pour Amudhamolhi** et Moussa

Deuxième pierre dans le jardin de la bienpensance, les quinze élèves de la prépa interne de l’ENA réservée aux boursiers méritants, auront tous échoué lors du concours d'entrée. Seul l'un d'entre eux a réussi à passer le barrage des épreuves écrites, avant d'être injustement discriminé à l'oral.

Pourtant, histoire de combler une fracture socioculturelle avec les candidats du 16ème arrondissement ou du Vésinet, on aura chouchoutés nos petits étudiants Balbyniens (Bobigny) ou Cristoliens (Créteil) : nombreuses heures de cours supplémentaires, concours blancs à foison, visites culturelles à l'opéra (très bien ça…), encadrement par des tuteurs élèves de l'ENA, multiples bourses allouées (allocation pour la diversité dans la fonction publique, bourses sur critères sociaux, aides des écoles), sans oublier la mise à disposition de logements en résidence universitaire.

Seule manque à l’appel la fourniture des sujets d’examens à l’avance. Pour la prochaine fournée n’en doutons pas…

Bref, encore une sacrée fournée de discriminés !

« C’est pô juste ! », se lamente donc notre Titeuf du bled

Nos pauvres « chances pour la France » seraient-elles donc définitivement condamnés à des emplois subalternes par la faute d’un système proche du servage ou d’un esclavagisme digne des temps les plus obscurs ?

Ce ne sont pourtant pas les contre-exemples qui manquent. Si, si. Y’en a.

Et Rama alors  (Yade… qui d’autre…) ? Et Malek Boutih ? Et Thuram, alors ? Et Debbouze ? C’est du mou de veau, peut-être ? Et Jeannette Bougrab, quand même ! N’ont-ils pas su, eux, passer les barrages que notre société rétrograde dressait devant eux ?

Ces éclatantes réussites devraient donc à elles seules, infirmer cette prétendue discrimination dont seraient victimes nos jeunes amis de la ZUP.

[Ndr : j’entends déjà quelques réacs grognons soutenir que les réussites citées ne sont quand même pas que du premier choix. Dans l’ordre : une ancienne ministre plus habituée aux gueuletons de pipole et aux couvertures de Gala qu’aux dossiers dont elle avait la charge ; un couscoussier schizophrène du PS, lorgnant chez Sarko tout en étant cumulard chez Skyrock et au PSG ; un footeux donneur de leçons depuis qu’il s’est acheté une conscience et des lorgnons ; un humoriste minable de Trappes fantasmant sur une France composée uniquement de beurs moches et de blondes à forte poitrine ; et enfin, une arriviste qui se dépêche de rectifier un salaire indécent dès son arrivée en fonction (qui mieux qu’elle pour booster une indemnité mensuelle de 7 000 à 14 000€ ?)]

[Ndr 2: au moment de publier cet article, j’allais citer dans ce panthéon de la réussite sociale chez les minorités risibles visibles, le futur Drucker de la radiotélévision française, à savoir le géniââââlisime, l’insurpââââssable, le sensâââââsionnel et plusieurs fois récompensé d’une Merguez d’Or, Yassine Belattar. Patatras, lui aussi vient de se faire injustement discriminer par la direction de la radio « le mouv’ », sous les fallacieux prétextes d’audiences en chute libre, d’ambiance délétère entre les animateurs et de fixation maniaque sur des sujets aussi divers que la recette du Harira Bidaouia au cours des âges, la place des beurs à Radio-France ou la culture du pois chiche dans le gouvernorat de Sidi Bouzid (سيدي بوزيد), le tout parait-il, au détriment du reste de l’actualité. « Tu t'es cru sur Beur FM ? » lui aurait-on ainsi lancé de façon très discriminante après un nouveau débat sur le halal. Il n’aura pas échappé à nos lecteurs, que le directeur de la station se nomme Patrice Blanc-Francard… oui, oui, vous avez bien lu : BLANC-Francard. Notre p’tit beur n’avait donc vraiment aucune chance... Déjà viré de France 4 pour des audiences tellement en berne, que même l’outil de mesure n’arrivait pas à les détecter, expulsé maintenant du « Mouv’ », on va finir par croire que Radio-France est redevenue Radio-Paris !]

D’ailleurs, pour l’anecdote, je n'ai jamais vu dans ma carrière professionnelle, de candidats recalés lors d’un recrutement à cause de leur origine, quelle soit ethnique ou géographique. Par contre des zozos du Maghreb ou du Bas-Berry qui se croient immanquablement embauchés, parce qu'ils ont un CV à 2 balles (genre « maitrise de Skype et de Bit Torrent ») ou qui se prétendent chef de projet, parce qu’ils ont fait du support téléphonique chez un fournisseur d’accès Internet, ça oui, j'en ai vu.

Qu'ils se plaignent ensuite de discrimination pour justifier de leur incompétence, est bien la dernière option qui leur reste, avant de finir vigile dans le Lidl de leur ZUP ou « grand frère » au sein d’un Contrat Urbain de Cohésion Sociale.

 

DISCRIMINER : LA PROMOTION DES FEIGNASSES ET DES GEIGNARDS

La France des geignards

Ce constat d’échec prouve s’il en était besoin, que les initiatives idéologiques déconnectées du réel, ne sont que cautères sur jambe de bois.

La perversité de ces idéologues est d’avoir fait croire à des candidats dispensés d’obstacles qu’un élève « normal » pourrait franchir, que la voie royale aux hautes responsabilités était désormais ouverte. Mensonge par omission, car la sélection se fait toujours à un moment donné dans une carrière, où que l’on place le curseur et quelques soient les artifices employés pour masquer les déficiences scolaires.

Plus que de prétendues discriminations, ce dont souffre la jeunesse, c’est la combinaison de plusieurs facteurs : un système scolaire défaillant (car permissif, laxiste et globalement démissionnaire), le peu de goût pour l’effort des dernières générations, la détestation de toute forme de transmission du savoir, l’absence de respect pour toute autorité et enfin le peu de considération de nos immigrés de xème génération envers la mère patrie.

Comment dans ce cas, peut-on faire croire que des années de dilettantisme scolaire pourraient être compensées par une idéologie aussi perverse et par des aides aussi couteuses qu’injustes pour ceux qui n’entrent pas dans le cadre de cette discrimination honteusement légale.

L’école est aujourd’hui une voie de garage pour des élèves à qui l’on n’a jamais appris l’amour du travail, que l’on incite à se communautariser en leur inculquant la détestation d’une France colonialiste, et à qui on pardonne tout manquement à l’autorité (scolaire et civile). On ajoutera à ce cocktail, le mirage d’un enrichissement facile par divers trafics dans les cités, et voilà comment obtenir des hordes d’adolescents laissés pour compte, qui vivront toute leur vie future grâce à solidarité nationale (autrement dit, vos impôts) ou (et) par de miteux trafics.

Cette démission du système éducatif et une culpabilité militante envers une France jadis colonialiste, feront de ceux qui ne sauront pas « s’élever » dans la société par des comportements délictuels, des geignards se plaignant d’une France forcément injuste et raciste.

Le cancer du couple « culpabilisation/discrimination »

La République, en permettant l’afflux permanent d’immigrés et en autorisant le regroupement familial, continuera de fabriquer des hordes de migrants non assimilables. Toutes les discriminations positives n’y changeront rien.

Paupérisation, banditisme, repli communautaire, islamisme. Voilà non pas ce qui attend notre société demain, mais telle est déjà la triste réalité d’aujourd’hui, cela par la faute d’un appel d’air permanent pour des populations avides de nos « richesses ».

Rien ne permet d’espérer que la tendance va s’inverser, dans la mesure où les portes de l’immigration restent grandes ouvertes, à Lampedusa ou ailleurs, et accords de Schengen rectifiés ou pas. Les dernières fanfaronnades du locataire provisoire de l’Elysée sur le sujet n’y changeront rien.

Mais ces initiatives dictées par de pseudos idéaux égalitaristes, sont-elles destinées à encourager des vocations nouvelles ou ne sont-elles pas plutôt un outil destiné à culpabiliser une France éternellement repentante de crimes qu’elle n’a pourtant pas commise ?

Derrière cette volonté de mélangisme culturel, social et ethnique, n’y a-t-il pas également volonté de faire disparaître le français dit « de souche », en lui infligeant la punition absolue : le faire disparaitre du paysage, lui qui part au turbin en écoutant Radio Nostalgie, voire le dernier disque d’« Hôtel Stella » (pub gratuite…), qui se presse sur les routes du Tour de France en juillet, qui se marre des gauloiseries des « Grosses Têtes » et qui visite les châteaux  et les musées qui parsèment notre pays ? Bref, celui qui a toute les chances de ne pas voter « comme il faut » aux élections.

Devant cette agression permanente contre tout ce qui peut représenter la France traditionnelle, ne prend t’on pas le risque de rendre les français vraiment racistes, alors que notre civilisation pétrie de 1500 années de christianisme est fondamentalement détaché d’un racisme de type biologique ?

Les promoteurs de cette discrimination et la morgue de ceux qui se gavent de nos faibles richesses, seront les premiers et seuls coupables d’une guerre civile dont on peut déjà ressentir les prémices (émeutes ethniques à foison).

Le dilemme : la république métissée ou la France

La question est de savoir si l’on pourra sortir de cette inexorable marche en avant vers une France que l’on veut métisser coûte que coûte, tant il semble évident que le pays légal et l’intelligentsia vomit sa haine du français blanc ?

Non, tant que l’on nous culpabilisera à propos ce prétendu racisme à l’embauche. Non, tant que l’on exercera une politique de discrimination à l’encontre des français de souche. Non, tant que notre pays sera considéré comme un Eldorado pour tous les miséreux de la Terre, ne voyant dans l’ancien « Royaume des Lys » qu’un gigantesque casino où il suffit d’actionner un bandit manchot pour toucher le jackpot.

Et définitivement non, tant que l’on continuera à imposer cette chape idéologique qu’est l'antiracisme, ce communisme du XXIème siècle.

Nous n’aurons donc aucun espoir avec les gouvernants actuels…

… comme nous n’aurons aucun espoir avec le régime politique en place, ce dernier privilégiant depuis deux siècles tout ce qui est contraire à nos traditions et à notre civilisation.

Cette idéologie, vrai cancer qui ronge notre identité, est l’une des clefs de voute du système républicain en place.

Il n’y a qu’à écouter les chroniqueurs sur les ondes de Radio France, pour s’en convaincre et se rendre compte de la collaboration effective entre pouvoir en place (et sa politique larvée de métissage) avec les porte-paroles de la mixité ethnique  (Pascale Clark, Ivan Levaï, Sophia Aram…). De même, la disparition programmée de certains gazetiers de France Télévision, chroniqueurs qui avaient l’audace de ne pas pagayer dans le sens du mélangisme ethnique ou qui gardaient encore une certaine indépendance d’esprit (Zemmour, pour ne citer que lui), renforce cette idée du « je ne veux pas voir une tête qui dépasse ».

De toute façon, le conformisme intellectuel et le politiquement correct sont la norme dans l’ensemble de la « médiasphère », à de très rares exceptions près (Bourdin sur RMC ?).

L’insurrection et le Roi

Poursuivre cette politique de culpabilisation et de discrimination, pose un risque évident et très immédiat : voir nos compatriotes se lasser de constater que leurs impôts financent les passe-droits qui empêcheront leurs propres enfants d’accéder à l’élite de la nation, car coupables d’être « trop » français.

Accepteront-ils longtemps cette quasi impunité accordée aux délinquants extracommunautaires, au nom d’une morale qui mêle repentance et culpabilisation ?

Comprendront-ils enfin un jour que le système d’apparence démocratique qu’est la République, n’est qu’un outil de dislocation de notre identité et de désagrégation de la France comme nation ?

Notre société n’a certes jamais été figée, car elle recevait sans cesse l’apport de gènes extranationaux, et c’est là le faible argument des métisseurs de service. Mais choisir de vivre dans notre pays pour un étranger, c’était accepter de se fondre avec sa descendance, dans une civilisation qui avait ses propres caractéristiques, lois et coutumes. Vivre en France, ce n’était pas vivre en France comme un sicilien pouvait vivre en Sicile ou un polonais en Pologne, mais c’était vivre comme un français, en apportant sa contribution à une société qui acceptait néanmoins certains particularismes. C’était le contrat à respecter avant de pouvoir jouir des bienfaits que notre nation daignait accorder à ces prétendants. Devoir mériter cette appartenance à notre communauté, limitait mathématiquement le nombre de postulants, et par conséquent ne remettait pas en cause le substrat culturel et ethnique (sans oublier le fait religieux : majoritairement, des chrétiens).

Ce « contrat » moral incluait également la possibilité de devoir défendre sa nouvelle patrie par les armes, au risque assumé de devenir « français par le sang versé ».

Alors, dans notre folle détermination à travailler et espérer encore au retour du Roi, nous devrons composer avec cet héritage maudit, ce legs empoisonné que constitue la présence sur le sol de France, de populations qui jamais ne s’intègreront ou s’assimileront. Fermer les portes de notre territoire, renvoyer ceux qui n’ont pas vocation à rester sur le sol national et mettre en place une vraie politique de francisation, seront des passages obligés. Seule cette politique nous permettra d’espérer que les générations de demain, ne seront pas exclusivement constituées d’allocataires vêtus de sari, coiffés de turban ou affublés du niqab.

Le temps nous est compté et plus nous tarderons, plus la tâche du Souverain sera difficile. Les français seront bientôt mis devant cette alternative : voir disparaitre notre histoire et notre culture à petit feu, ou retrouver l’essence qui fit de notre pays le plus beau sous le ciel.

Mais avant de retrouver cette France là, nos compatriotes n’auront-ils pas alors cédé au pire, en basculant dans une sainte colère, prélude d’une tragique guerre civile à venir ? C’est le risque que nous fait prendre le régime républicain et ses séides.

Certains français, après avoir compris l’inutilité d’un vote protestataire en faveur d’un parti foncièrement régimiste, ne cèderont-ils pas alors au pire ?

Il est grand temps d’abattre ce régime avant que cette tragédie ne survienne ou que la France ne se transforme définitivement en un « métisland » en Europe.

 

* dans « Germinal »

** Signifie "Aux Paroles Douces comme le Nectar" en Tamoul. Joli, non ?

Commentaires

Quel joie votre site Web, on ne trouve que des articles passionnants.
J'adore passer sur ce blog pour me changer l'esprit.
D'ou vous optenez votre inspiration, car avoir un ce site Web c'est enormement de boulot.

Écrit par : vitrier villeurbanne | 10/06/2011

Les commentaires sont fermés.