17/10/2011
Hollande : le candidat de la France d’ailleurs
Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que le masque tombe. Et convaincre enfin, ceux qui se faisaient des illusions et qui pensaient le niais de service moins extrémiste que sa concurrente lilloise.
Dès le lendemain de sa nomination comme candidat officiel du PS à l’élection présidentielle de 2012, François Hollande est en effet venu faire allégeance à ceux qui travaillent à la soumission de notre pays au lobby tiers mondialiste et à l’ensemble de la vermine cosmopolite qui crache habituellement sur notre pays (François Hollande, le désormais candidat du PS à la présidentielle 2012 était ce lundi matin sur le pont de Clichy à Asnières pour rendre hommage aux manifestants algériens tués lors de la manifestation du 17 octobre 1961).
Le message est clair. Tout ce qui n’est pas français aura donc les faveurs du « Mitterrand » de pacotille, cela en accord avec les recommandations du « think tank » Terra Nova, pour qui l’ouvrier français doit être délaissé au profit de l’émigré dans les stratégies électoralistes1.
Tu as choisi ton camp, camarade ! Celui d’être l’ennemi de ton propre pays.
Les salariés, le jour du vote, sauront peut-être se souvenir de ce geste méprisable pour l’ensemble des travailleurs français. Au PS, ils ne sont plus à quelque centaine de milliers de voix en plus pour le FN, après tout.
Et vous voudriez que je crie « vive la démocratie » ?
Un seul mot d’ordre pour 2012 : le ROI !
(1) on pourrait aussi penser que ce geste fait partie d’un plan visant à se saborder électoralement, histoire de ne pas être élu en 2012 et d’avoir à gérer la monstrueuse crise à venir. Pourquoi pas. Après tout, on a bien écrit et dit que l’infâme DSK avait agi de la sorte pour se faire écarter de l’investiture du PS et d’une victoire toute acquise en 2012.
18:05 Publié dans "Casse toi, pov' con...", On nous prend pour des c.. | Lien permanent | Commentaires (0)
07/09/2010
Casse toi pov’con Awards (chap. 1)
Nous inaugurons en cette rentrée un nouveau concept destiné à mettre en valeur ceux qui, abusant de la générosité de notre pays, se permettent de cracher dans une soupe si gracieusement et si généreusement servie.
Un classement sera tenu tout au long de l’année, histoire de bien mettre en valeur celui ou celle qui aura le moins mérité de la générosité nationale.
Le lauréats du podium final auront droit à une splendide statuette de «Casse toi, pov’ con» : respectivement, Casse toi, pov’ con d’or, Casse toi, pov’ con d’argent et Casse toi, pov’ con de bronze (en cours de moulage). Le tout sera assorti d’un joli mode d’emploi destiné à expliciter les démarches à suivre pour quitter un pays qui ne mérite vraiment pas d’être foulé par d’aussi belles consciences.
Il ne vous aura évidement pas échappé, que nous tirons le nom de notre prix, du cri du cœur de not’pwézident prononcé lors d’une visite salon de l'agriculture. Quelle saillie quand même ! Toute sa politique résumée en quatre mots : « casse-toi, casse-toi pauvre con ».
Mode de calcul :
- 20 points : lauréat le plus souvent d’origine étrangère, faisant preuve d’une détestation et d’une haine pathologique de la France et de ses gaulois. Est néanmoins bénéficiaire des largesses de notre système et du confort de vie procuré par les cotisations et les impôts des assujettis de souche. Se répand par exemple dans les médias, pour vitupérer contre une France génocidaire, héritière de Vichy et véritable pépinière de nazis qui n‘attendent que le bon moment pour rétablir l’esclavage et les déportations de masse.
- 10 points : autochtones, bénéficiaires du généreux système clientéliste mis en place et en général grandes consciences médiatiques. Leurs scrupules sélectifs ne les contraignent pourtant pas à quitter fonctions et avantages, fusse au prix de contorsions mentales et de probables ulcères (intellectuels, journalistes, ministres). Exemple de candidat type : BHL.
- 5 points : idiots utiles, complices des catégories précédentes. En général, concerne des sportifs, des chanteurs, des acteurs… Le collabo de base, en somme. Les Balasko, Noah, Thuram, Birkin ou Bedos sont des exemples que l’on devrait retrouver rapidement dans le classement.
La compétition peut donc commencer.
Nominés de septembre 2010 :
Premier élu, l’agité du bocal Saïd Bouamama, dont le dernier ouvrage mérite à lui seul cette nomination. La photo de l’ouvrage ci-contre a le mérite de mettre les choses au point. 20 points direct.
Pour cette première livraison, je récompense également le lot suivant : Fadela Amara, Hervé Morin et Bernard Kouchner, pour leurs émouvants scrupules quant aux reconduites sponsorisées à nos frontière de Roms et de gens du voyage (de quoi se plaignent-ils donc, on les fait voyager les gens du voyage, non ?).
Effet de bord, les voilà automatiquement nominés pour être éjectés au prochain remaniement ministériel. 10 points chacun, hop.
Dernière minute : suite aux manifestations de ce weekend end contre la « xénophobie et la politique du pilori » (si, si) auxquels auront participé moult pipoles désœuvrés, je décerne une brassée de points pour :
- Jane Birkin,
- Régine,
- Agnès Jaoui,
- Jeanne Cherhal,
- Dan Franck
M’est d’avis que ceux-là, on va les revoir bientôt dans ce classement…allez « five points » pour les ringards de service (qui lit ou a lu Dan Franck, hum ?)
Dernière minute (bis) : nous ne pouvions non plus passer à travers cette dernière déclaration de Louis Schweitzer au Figaro.fr, quand aux critiques concernant ses émoluments à la Halde. Je cite : « Je n'ai moi-même pas voulu être bénévole, car mon activité à la Halde n'était pas une bonne œuvre mais un véritable travail. J'ai renoncé à un salaire mais je percevais une indemnité annuelle de 75.000 euros ». Fallait bien ça pour le motiver le matin d’aller au turbin et prendre son RER de banlieue en compagnie de métallos graisseux et de secrétaires blondasses. Môssieur, ne fait pas dans les bonnes œuvres, sachez-le.
Allez, zou, 10 points amplement mérités pour le courage de s’être levé aux aurores pendant de si longs mois et d'avoir fait ce travail de forçat.
Voici donc ce premier classement du hit-parade de l’ingratitude nationale.
|
Points |
Saïd Bouamama |
20 |
Fadela Amara |
10 |
Hervé Morin |
10 |
Bernard Kouchner |
10 |
Louis Schweitzer |
10 |
Jane Birkin |
5 |
Régine |
5 |
Agnès Jaoui |
5 |
Jeanne Cherhal |
5 |
Dan Franck |
5 |
14:49 Publié dans "Casse toi, pov' con..." | Lien permanent | Commentaires (0)